F1 : Plombé, Gasly pousse un coup de gueule !
Benjamin Labrousse -
Rédacteur
Malgré un double cursus Espagnol/Communication, j’ai décidé de prendre en main mes rêves en me dirigeant vers le journalisme. Diplômé d’un master en journalisme de sport, je couvre l’actualité sportive et footballistique avec toujours autant d’admiration pour les période de mercato, où un club se doit de faire des choix cruciaux pour la saison prochaine.

Le Grand Prix de Monaco n’aura clairement pas souri à Pierre Gasly. Victime d’un accrochage avec Yuki Tsunoda en début de course, le pilote français a rapidement été contraint à l’abandon. Une course frustrante pour le leader de chez Alpine, qui n’a pas hésité à rejeter la faute sur son ancien coéquipier chez Alpha Tauri.

Le Grand Prix de Monaco 2025 aura été passionnant à suivre. Remporté par Lando Norris, ce dernier aura été marqué par plusieurs accrochages, dont celui de Pierre Gasly avec Yuki Tsunoda en début de course. Lancé à pleine vitesse, le Français est allé s’empaler sur l’arrière de la monoplace du Japonais, qui n’a pas hésité à le qualifier d’idiot sur le coup.

« Tsunoda a commis une erreur dans le virage précédent »

Alors que le pilote Alpine a semblé perdre ses freins au niveau de l’accrochage, Gasly a rapidement été contraint de ramener sa monoplace aux stands et d’abandonner. Au micro de Canal +, ce dernier a confié qu’il s’agissait surtout d’une grosse erreur de la part de son coéquipier.  « Il n’y a pas eu de perte de freins avant le contact. C’est après l’incident que je les ai perdus. Tsunoda a commis une erreur dans le virage précédent, ce qui m’a permis de me rapprocher. Il a freiné côté gauche, ce qui ne correspondait pas à sa trajectoire habituelle. Je me suis placé à droite, mais il a refermé la porte alors qu’il était plus lent », a confié ce dernier.

« Une fois coincé, je n’avais plus d’échappatoire »

« D’habitude, il terminait ses freinages à droite. Cette fois, c’était différent. Une fois coincé, je n’avais plus d’échappatoire », a poursuivi Gasly, qui affirme qu’abandonner était alors la meilleure des solutions : « C’était, selon moi, l’option la plus sûre. À basse vitesse, je savais que je pouvais rentrer sans danger. C’est un choix que j’ai assumé, on en discutera avec l’équipe. »

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