Depuis le début de cette saison 2025 de F1, Lewis Hamilton lutte avec sa monoplace. Le septuple champion du monde peine à tirer le meilleur de sa voiture et n’obtient pas vraiment les résultats escomptés. Ferrari semble toutefois sous-entendre que le calvaire du pilote de 40 ans sera bientôt derrière lui.
Avec son transfert chez Ferrari, Lewis Hamilton pensait relancer sa carrière. Le Britannique voulait de nouveau se battre pour les premières places, ce qui n’était plus le cas chez Mercedes ces dernières années. Mais depuis le début de saison, le pilote de 40 ans peine à tirer le meilleur de sa monoplace. Résultat, Lewis Hamilton n’est que sixième du classement général de la F1 et n’arrive pas à redresser la barre. Frédéric Vasseur se veut toutefois plutôt optimiste pour la suite, et a même sous-entendu que les galères du septuple champion du monde étaient bientôt terminées.
«Il ne manque que des détails»
« Un mot pour définir la voiture ? Sensible. Parce que parfois nous parvenons à extraire le maximum, mais pas toujours. Les qualifications d’Imola et de Miami sont emblématiques : nous étions plus rapides avec des pneus usagés, ce que je n’ai jamais vu de ma vie. [...] Les difficultés de Lewis ? Il ne manque que des détails. Nous parlons de centièmes qui, dans cette Formule 1 équilibrée, peuvent faire la différence entre la première et la troisième ligne, entre un bon et un moins bon week-end. Mais cela reste des détails - comprendre la voiture, les réglages, la communication... » a confié le patron de Ferrari dans des propos rapportés par NextGen-Auto.
«Nous allons continuer à travailler»
Lewis Hamilton, lui, a avoué qu’il nageait en plein flou. « Je ne sais pas quelles sont les évolutions à venir. Nous n’avons rien eu de nouveau depuis un certain temps. Nous allons continuer à travailler avec ce que nous avons et, avant qu’il ne soit trop tard, j’aimerais demander à l’équipe de se concentrer sur la saison prochaine. Cette année, nous posons les fondations, nous apprenons les outils, nous affinons la structure et les processus afin que l’année prochaine, nous puissions avoir la voiture dont nous avons besoin » a expliqué le pilote de 40 ans. À suivre...