F1 - Hamilton : «Je ne l’aurais pas signé», Alpine se lâche sur Ferrari !
Benjamin Labrousse -
Rédacteur
Malgré un double cursus Espagnol/Communication, j’ai décidé de prendre en main mes rêves en me dirigeant vers le journalisme. Diplômé d’un master en journalisme de sport, je couvre l’actualité sportive et footballistique avec toujours autant d’admiration pour les période de mercato, où un club se doit de faire des choix cruciaux pour la saison prochaine.

A 39 ans, Lewis Hamilton est parti pour relever un nouveau challenge chez Ferrari. Le septuple champion du monde s’apprête à former un duo extrêmement alléchant avec Charles Leclerc au sein de la Scuderia. Mais de son côté, le conseiller exécutif d’Alpine, Flavio Briatore, s’interroge sur la pertinence de ce choix réalisé par l’écurie italienne.

Après des années de légende chez Mercedes, Lewis Hamilton a décidé de poursuivre son immense carrière du côté de Ferrari. Alors que certains observateurs sont sceptiques concernant le niveau actuel du pilote britannique, le patron de la Scuderia, Frédéric Vasseur, se voulait rassurant à ce sujet.

« Il est suffisamment expérimenté pour être rapide dès le premier jour »

« Je regarde les 50 tours qu’il a fait à Vegas, en partant de 10e, en terminant derrière la boîte de vitesses de Russell, je ne suis pas du tout inquiet. Je ne suis pas sûr qu’il ait besoin de tonnes d’heures d’acclimatation. Il est suffisamment expérimenté pour être rapide dès le premier jour, ou du moins très rapidement », déclarait le directeur français fin décembre. Mais pour Flavio Briatore, Ferrari n’a pas forcément fait un bon choix avec Hamilton.

« Si j’avais été en position de responsabilité chez Ferrari, je n’aurais pas signé Lewis »

« Ce sera étrange de voir Lewis dans la Ferrari. Bien sûr, je respecte de telles décisions, mais je me demande aussi si cela a du sens. Ferrari avait deux pilotes de premier plan, Charles Leclerc et Carlos Sainz. Je ne comprends pas pourquoi ils ont séparé ce grand duo. Ce n’est pas mon travail de juger, mais si j’avais été en position de responsabilité chez Ferrari, je n’aurais pas signé Lewis. En principe, c’est une bonne chose pour la Formule 1 que Lewis pilote pour Ferrari. Et tout ce qui est bon pour la Formule 1 est bon pour moi aussi. C’est certainement bon pour la télévision et les audiences aussi », a lâché le conseiller exécutif d’Alpine dans des propos rapportés par Next-Gen Auto.

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