Le Grand Prix du Canada ce dimanche n’a clairement pas tourné en faveur de Lewis Hamilton. Le septuple champion du monde a terminé à la sixième place, derrière son coéquipier chez Charles Leclerc. Le pilote de 40 ans a d’ailleurs vivement critiqué sa monoplace après la course, expliquant qu’il n’avait jamais eu un tel problème.

Lewis Hamilton s’attendait très certainement à mieux lors du Grand Prix du Canada. Le pilote de 40 ans espérait obtenir une meilleure place. Mais finalement, le septuple champion du monde a terminé sixième derrière son coéquipier Charles Leclerc ce dimanche. Encore une fois, Lewis Hamilton a été mis en difficulté par sa Ferrari. Le Britannique a d’ailleurs expliqué qu’il avait souffert d’un problème qu’il n’avait jamais connu par le passé.
«La voiture ne voulait tout simplement pas tourner»
« Le circuit Gilles-Villeneuve a mis en évidence les faiblesses de la voiture. Je n’ai jamais vu une voiture qui sous-vire autant à basse vitesse ici. Elle ne voulait tout simplement pas tourner dans les virages 2 et 10, ce n’était donc certainement pas mon week-end préféré. J’espère que le prochain [en Autriche] sera meilleur. Tout est en moyenne et haute vitesse, donc je pense que nous serons un peu meilleurs. Je pense que la voiture est plutôt bonne en haute vitesse, donc j’espère que nous serons un peu plus forts. Je ne pense pas que nous serons au niveau des McLaren, et les Red Bull sont également très rapides en haute vitesse, mais j’espère que nous serons toujours dans le coup » a confié Lewis Hamilton dans des propos rapportés par F1 Only.
Des évolutions arrivent chez Ferrari
Le pilote de Ferrari pourrait toutefois redresser la barre très bientôt, Frédéric Vasseur ayant confirmé l’arrivée d’évolutions. « Nous aurons une évolution prochainement. Avant le Royaume-Uni. Peut-être une autre un peu plus tard. Honnêtement, aujourd’hui, je pense que l’exécution dans les résultats obtenus par notre voiture sont bien plus importants que son potentiel. Nous arrivons maintenant au terme de l’obligation imposée par ce règlement. Et nous savons tous que lorsqu’on met quelque chose en piste, on parle davantage de centièmes que de dixièmes. Et si l’on n’utilise pas la voiture correctement, car les réglages sont légèrement différents, on peut perdre des dixièmes » a confié le patron de Ferrari. À suivre...