Du haut de ses 43 ans, Fernando Alonso continue d'entretenir des ambitions très importantes que ce soit en Formule 1 avec son ambition de remporter un troisième titre mondial, ou en dehors des circuits avec sa volonté de remporter son premier Dakar et ainsi suivre les traces de Carlos Sainz, toujours pilote à plus de 60 ans.
Alors qu'Aston Martin semble être l'écurie la plus ambitieuse du paddock, Fernando Alonso continue de nourrir de très belles ambitions pour son avenir en F1. Sous contrat pour encore deux saisons, le pilote espagnol espère bien remporter un troisième titre mondial bien qu'il ait 43 ans. Mais même après sa carrière en F1, Fernando Alonso nourrit d'autres objectifs notamment sur le Dakar.
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— le10sport (@le10sport) October 2, 2024
«Pour les deux ou trois prochaines années, je veux remporter un troisième titre mondial»
« J'ai tenté ma chance à l'Indy 500 à trois reprises et je n'ai pas réussi. C'est la seule chose qui me manque [pour la Triple couronne] mais pour le moment, ce n'est pas dans mes projets. Je suis très, très concentré sur la Formule 1 actuellement. Pour les deux ou trois prochaines années, je veux remporter un troisième titre mondial. C'est ma première et unique priorité du moment. Après ça, j'aurai 45 ou 46 ans et je pense qu'à cause de l'engagement que ça nécessitera d'aller faire l'Indy 500, la quantité d'apprentissage qu'il faudra refaire... ce sera un petit peu trop. C'est en tout cas ce que je pense aujourd'hui, mais je ne peux pas le dire à 100% », confie-t-il lors d'un événement organisé par Cognizant, sponsor majeur d'Aston Martin, rapporté par Nextgen-auto.com, avant de poursuivre pour ses ambitions après sa carrière en F1.
«Si je peux gagner le Dakar, ce sera extrêmement gratifiant»
« Je pense que mon plus gros défi ensuite sera le Dakar. Si je peux gagner le Dakar, ce sera extrêmement gratifiant à titre personnel car j'aurai pu gagner en Formule 1, en endurance au Mans et à Daytona, et alors en rallye, ce qui voudra dire beaucoup pour le pilote que je suis. On ne peut pas piloter une Formule 1 comme une voiture qui doit faire 24 heures au Mans, ou comme une voiture de rallye sur le Dakar, où il faut franchir les dunes et les routes saoudiennes. J'ai dû apprendre en partant de zéro dans de nombreuses catégories, et m'entourer des meilleurs pilotes du monde qui étaient spécialistes de ces championnats, pour apprendre d'eux et être humble. Il n'y a aucun problème à accepter le fait que je n'avais aucune idée de comment piloter une voiture de rallye, mais jour après jour j'ai progressé et appris d'eux, jusqu'à ce que je sois en mesure de courir le rallye le plus dur au monde », ajoute Fernando Alonso.