Champion du monde, il doit tout au PSG
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Comme de nombreux joueurs issus de la région parisienne, Steven Nzonzi est passé par les catégories de jeunes du PSG. Et le champion du monde 2018 reconnaît que son passage au sein du club de la capitale lui a permis de parfaitement lancer sa carrière.

Natif de Colombes en région parisienne, Steven Nzonzi est passé par le centre de formation du PSG, comme de nombreux joueurs. Et bien qu’il n’est pas percé avec le club de la capitale, le champion du monde 2018 assure qu’il doit beaucoup au PSG.

«C’est vraiment le PSG qui a allumé la flamme en moi»

« Tous les jeunes de la région parisienne rêvent de porter les couleurs du PSG. Mais il y a des tas d’exemples qui prouvent que l’on peut aussi réussir ailleurs. En ce qui me concerne, c’est vraiment le PSG qui a allumé la flamme en moi ! Avant de rejoindre Paris, le foot était plus un loisir. Une fois au Camp des Loges, je voyais les superbes voitures des joueurs pros comme la Ferrari d’Anelka ! Et puis il y avait de très grands joueurs comme Ronaldinho ou bien Okocha… Au quotidien, ça envoie du rêve ! Donc moi aussi je voulais devenir pro ! C’est là où j’ai compris qu’il fallait que je donne tout pour y parvenir moi aussi », confie-t-il dans une interview accordée aux Titis du PSG.

Nzonzi garde un bon souvenir du PSG

« J’ai rencontré quelques difficultés au début car ce n’était pas évident de quitter le domicile parental si jeune. J’avais grandi avec ma grande soeur au sein d’une même chambre. Quitter mon cadre de vie n’était pas évident. Et puis avec le temps, j’ai su me fondre dans l’ambiance du centre. Mes coéquipiers sont devenus comme une seconde famille. Nous allions à l’école ensemble. On se soutenait les uns et les autres dans les bons comme dans les mauvais moments. Etre autonome si tôt, nous a forgé un mental à toute épreuve. Forcément une bonne chose pour notre avenir », ajoute Steven Nzonzi.

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