OM - Malaise : Neymar, Mbappé... Pierre Ménès tacle violemment Alvaro Gonzalez !
Hadrien Grenier

Tandis que Neymar et Alvaro Gonzalez se sont accrochés sur les réseaux sociaux après la victoire 2-1 du PSG face à l’OM lors du Trophée des Champions ce mercredi, Pierre Ménès a vivement critiqué l’attitude du défenseur marseillais sur le terrain.

Le Trophée des Champions entre le PSG et l’OM ce mercredi soldé par une victoire 2-1 du club de la capitale était l’occasion des retrouvailles entre Neymar et Alvaro Gonzalez sur le terrain depuis leur dernière confrontation houleuse en septembre. En effet, lors du Classique remporté 1-0 par les Phocéens au Parc des Princes, l’attaquant de 28 ans avait accusé l’Espagnol d’avoir proféré des insultes à caractère raciste à son encontre, ce que le défenseur marseillais a toujours nié en bloc. Ainsi, leurs retrouvailles étaient attendues, et le moins que l’on puisse dire est qu’Alvaro Gonzalez n’a pas ménagé Neymar après son entrée en jeu à la 65e minute. En effet, l’ancien joueur du Villarreal CF et du RCD Espanyol s’est montré pour le moins rugueux dans ses interventions sur Neymar, comme il l’avait d’ailleurs fait en première période sur Kylian Mbappé.

« Dangereux et violent »

Seulement voilà, si l’agressivité d’Alvaro Gonzalez dans son jeu est apprécié par une partie des supporters de l’OM, Pierre Ménès ne goûte que très peu à l’attitude du défenseur marseillais. En effet, sur son blog, le consultant de Canal + a vivement critiqué le comportement violent du joueur de 31 ans arrivé à Marseille en 2019. « Une entrée relativement intéressante de Neymar, même s’il a semblé empâté sur ses premiers ballons. Ensuite, il a réussi à se mettre dans le sens du jeu mais s’est heurté plusieurs fois à un Alvaro méchant. Entre son traitement de faveur sur Neymar et l’obstruction sur Mbappé en première période, il faut m’expliquer comment le défenseur espagnol a pu terminer ce match. Je trouve qu’on est d’une mansuétude absolument invraisemblable avec ce joueur, qui est dangereux et violent », a jugé Pierre Ménès.

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