OM - Malaise : Après Benedetto, Germain s’en prend à Jorge Sampaoli !
Thibault Morlain -
Journaliste
Après s’être essayé à différents sports, Thibault se tourne vers une carrière de footballeur amateur. Au moment de faire un choix entre devenir footballeur professionnel et journaliste, les qualités ont fait pencher la balance d’un côté. Le voilà désormais au sein de la rédaction du 10 Sport, après un diplôme obtenu à l’Institut International de Communication de Paris.

Depuis son arrivée à l’OM, Jorge Sampaoli s’est montré ferme dans la gestion de son groupe. Une manière de faire qui n’a visiblement pas plus à Valère Germain. 

Pour son OM, Jorge Sampaoli sait ce qu’il veut et certains joueurs en ont d’ailleurs fait les frais. Cet hiver, c’est Jordan Amavi qui a été poussé au départ et a ainsi été prêté à l’OGC Nice. Avant lui, ce sont Dario Benedetto et Valère Germain qui avaient été laissés sur le côté par l’entraîneur argentin. Une situation que Benedetto n’avait d’ailleurs pas appréciée. « Comment ça s'est passé avec Sampaoli et pourquoi cela s'est terminé comme ça ? C'est difficile, je préfère éviter les commentaires. La vérité c'est qu'on avait une bonne relation avec Jorge et avec le staff technique, mais Marseille ne s'est pas comporté comme je pensais vraiment qu'ils devaient se comporter », avait lâché l’Argentin pour ESPN

« Tu as envie d'être au moins traité de la même façon que les autres »

Et après Dario BenedettoValère Germain s’est lui aussi lâché sur la gestion de Jorge Sampaoli. A l’occasion d’un entretien accordé à Oh My Goal, le désormais joueur de Montpellier a dit ce qu’il avait sur le coeur concernant son ancien entraîneur, confiant : « Il concernait beaucoup plus les titulaires que ceux qui ne jouaient pas. Il n'a rien annoncé mais il avait une façon d'entraîner. Il prenait le groupe des titulaires à une certaine heure et ils les faisaient travailler avec des jeunes. Et nous les remplaçants, on arrivait soit un peu plus tôt, soit un peu plus tard et on faisait les mêmes entraînements. Mais on ne s'entraînait quasiment pas avec les titulaires. (…) Même si tu comprends, que tu respectes et que tu essayes de ne pas faire de bruit, ça saoule. Tu as envie d'être au moins traité de la même façon que les autres ». 

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