Lamine Yamal - OM : Une annonce est lâchée !
Dan Marciano -
Rédacteur
Titulaire d'un Master de droit international, je me suis rendu compte au bout de mon parcours universitaire qu'il était important d'évoluer dans un domaine que l'on apprécie. Du jour au lendemain, j'ai décidé de mettre fin au rêve de mes parents, qui voyaient en moi un futur avocat, pour vivre de ma passion : le sport. Depuis, je couvre les mercatos et l'actualité sportive en essayant d'informer au mieux les lecteurs.

Profondément remanié durant le dernier mercato estival, l'OM a longtemps menacé le Real Madrid avant de plier dans les dernières minutes de la rencontre ce mardi soir (2-1). Ancien joueur du club marseillais, Eric Di Méco a posé son analyse sur ce premier match de Ligue des champions. Selon lui, le groupe de Roberto de Zerbi est encore en construction.

La saison débute vraiment pour l’OM. Après un mercato agité, le club marseillais a lancé son parcours européen ce mardi soir. Face au Real Madrid, le groupe phocéen était loin d’être favori. Pourtant, l’OM a longtemps résisté aux assauts du club espagnol, avant de craquer en fin de rencontre (2-1). Sur RMC, Eric Di Méco estime que cette équipe a encore besoin de temps.

« Tu as changé pratiquement deux tiers des joueurs »

« L’OM, c'est une équipe où tu as changé pratiquement deux tiers des joueurs. C’est une équipe expérimentale, avec beaucoup de progrès collectifs à faire. Donc quand tu commences ton histoire avec ce genre de match-là, les joueurs en allant là-bas au Real pensent à un moment donné au pire. Les coachs voire même les dirigeants, quand tu commences au Real avec une équipe expérimentale, tu peux te dire ‘aïe aïe aïe ça peut ça peut faire mal’. Mais au final, tu as failli faire match nul. Certes, tu as des défauts défensifs que tu pourras gommer peut-être avec l'habitude de jouer ensemble, peut-être derrière l'entrée d’Aguerd. Mais en tout cas, tu peux construire là-dessus » a confié l’ancien joueur de l’OM durant l’After Foot.

« Les grandes équipes ont des Yamal, City »

Cette montée en puissance passera aussi par un changement dans le style de jeu. Car comme le déplore, Eric Di Méco, Roberto de Zerbi ne dispose pas de stars pour développer un jeu attrayant. « Sur ce jeu qui peut être ennuyeux, des fois pour jouer plus divertissant, il faut avoir des garçons devant qui sont capables de faire des grosses différences. Les grandes équipes, tout le monde veut jouer comme elles, sauf qu’elles ont des Yamal, City avait des Mahrez, des Foden, des De Bruyne... » a confié Di Méco.

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