«Comme la finale de la Ligue des Champions» : L’OM lui fait vivre un rêve
Jules Kutos-Bertin -
Journaliste
Tout petit, je m’étais promis d’avoir un métier en accord avec le football. Très vite, j’ai pris conscience que mes pieds ne suffiraient pas pour m’emmener là où je le voulais alors le journalisme est devenu une évidence.

Arrivé à l’OM l’été dernier à la place de Jorge Sampaoli, Igor Tudor réalise une belle saison avec le club olympien. Si la pression semble glisser sur ses épaules, le technicien croate est tout de même bluffé par l’ambiance du Stade Vélodrome, surtout que les matchs à guichets fermés s’enchaînent.

Igor Tudor a passé la majeure partie de sa carrière en Italie, il n’était donc pas totalement dépaysé lorsqu’il est arrivé à l’OM. Le technicien croate a tout de même été bluffé par l’ambiance du Stade Vélodrome qui est à guichets fermés depuis le début de la saison.

«C'est toujours une fête superbe»

« Le grand avantage de ce public chaud et exigeant, c'est qu'il te pousse. Au stade, c'est toujours une fête superbe. Avec Hari (Vukas, son adjoint), à chaque fois, on se regarde et on se dit : "Encore 60 000 aujourd'hui !" C'est comme si on jouait la finale de la Ligue des champions à chaque match », s’enflamme l’entraîneur de l’OM dans un entretien accordé à L’Équipe

L’OM piégé par sa propre ambiance ?

Mais cette ambiance galvanise aussi les équipes adverses. « Et puis, dans ce stade bouillant, arrivent Strasbourg, Angers ou Ajaccio. Et qu'est-ce que se disent leurs joueurs ? ''Mon Dieu, aujourd'hui c'est magnifique, regardez ça, ce public, ce stade, on ne peut pas se rater !'' Ils font le match de l'année, et cela te coûte des points », regrette Igor Tudor.

Articles liés