FC Nantes : Un penaltygate éclate, Kombouaré règle le problème
Thibault Morlain -
Journaliste
Après s’être essayé à différents sports, Thibault se tourne vers une carrière de footballeur amateur. Au moment de faire un choix entre devenir footballeur professionnel et journaliste, les qualités ont fait pencher la balance d’un côté. Le voilà désormais au sein de la rédaction du 10 Sport, après un diplôme obtenu à l’Institut International de Communication de Paris.

Il n’y a pas qu’au PSG que le penaltygate frappe. En effet, ce dimanche, le FC Nantes a également été secoué par cette polémique à l’occasion de la rencontre face à Brest. Une affaire qui a alors dû obliger Antoine Kombouaré à réagir. Confronté à ce penaltygate, l’entraîneur du FC Nantes a ainsi mis les choses au point. 

Depuis le début de la saison, cela n’est pas simple pour le FC Nantes. Les mauvais résultats s’accumulent et la pression monte pour Antoine Kombouaré. Mais ce dimanche, les Canaris ont relevé la tête avec une belle victoire face à Brest (4-1). Un succès toutefois entaché d’une polémique en interne. Et à l’instar du PSG, le FC Nantes a également dû faire avec son penaltygate. 

Penaltygate au FC Nantes

Cette rencontre entre le FC Nantes et Brest était donc également une histoire de penalty. Tout d’abord, alors que Ludovic Blas est le numéro 1 dans la hiérarchie, le milieu offensif a été mis en échec par Marco Bizot. Alors qu’un deuxième penalty a été sifflé dans la rencontre, c’est finalement Moses Simon qui s’en est chargé et qui l’a transformé, chose qu’aurait bien aimé faire Mostafa Mohamed, qui avait d’ailleurs tenté de prendre le ballon pour le tirer. 

« On aura l'occasion d'en parler »

Après ce penaltygate au FC Nantes, Antoine Kombouaré a réagi en conférence de presse d’après-match. L’entraîneur des Canaris a alors été très clair sur cette affaire, lâchant : « Il (Mostafa Mohamed) a voulu frapper le penalty, il a boudé un peu. On aura l'occasion d'en parler, ça l'a fait un peu sortir de son match alors qu'il avait plutôt bien démarré. On l'a senti déçu, il a fallu faire en sorte qu'il reste dans son match. (…) Il ne faut pas que cela se renouvelle, parce que les autres fois on peut souffrir, voire perdre. Et ce genre d'attitude n'est jamais bonne, surtout dans notre situation. (…) L'importante c'est qu'il n'y ait pas eu de conséquences graves sur la partie. Le numéro un c'est Ludovic Blas, le numéro deux c'est Moses Simon, et le numéro trois, c'est Mohamed ou Ganago quand il est sur le terrain ».