NBA : Wembanyama dit stop, la décision déchirante !
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Gravement blessé la saison dernière, Victor Wembanyama avait du renoncer à toute la seconde partie de saison à cause d'une thrombose veineuse à l'épaule. Par conséquent, les Spurs ne veulent prendre aucun risque avec la star française quitte à moins l'utiliser en saison régulière. Une décision déchirante pour Wemby qui veut évidemment jouer tous les matches.

Après la thrombose veineuse qui l'avait écarté des parquets pendant de longs mois la saison dernière, Victor Wembanyama a fait un retour tonitruant cette saison... avant de se blesser à nouveau. Par conséquent, les Spurs ont décidé de ménager au mieux leur star durant la saison régulière afin d'éviter tout risque de blessure. « Si vous lui demandez, il vous dira qu'il peut jouer 48 minutes par soir et 82 matches », reconnaissait toutefois Mitch Johnson, le coach de San Antonio. Une décision compliqué donc pour Victor Wembanyama mais nécessaire d'après son entraîneur.

Wemby moins utilisé par les Spurs

« Le load management ? C'est évidemment quelque chose à laquelle nous resterons attentifs parce que, oui, nous voulons placer Victor dans les meilleures conditions, non seulement sur le plan du basket et de la santé, mais aussi en termes de disponibilité et de durabilité », expliquait-il récemment en conférence de presse avant de poursuivre.

«Si vous lui demandez, il vous dira qu'il peut jouer 48 minutes par soir et 82 matches»

« Ce qui est difficile, en matière médicale ou même de performance, et quand on regarde les données de la science du sport, c'est qu'on utilise des informations passées pour faire des prévisions sur l'avenir. Il n'y a pas beaucoup d'exemples ni de points de comparaison similaires à Victor. Donc, c'est en quelque sorte une discussion continue, vivante, qui existe au quotidien », ajoutait Mitch Johnson.

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