Tennis : Nadal drogué ? Elle balance tout sur sa retraite !
Benjamin Labrousse -
Rédacteur
Malgré un double cursus Espagnol/Communication, j’ai décidé de prendre en main mes rêves en me dirigeant vers le journalisme. Diplômé d’un master en journalisme de sport, je couvre l’actualité sportive et footballistique avec toujours autant d’admiration pour les période de mercato, où un club se doit de faire des choix cruciaux pour la saison prochaine.

Officiellement à la retraite depuis la défaite de l’Espagne en Coupe Davis il y a deux semaines, Rafael Nadal va découvrir une toute nouvelle vie. Mais alors que de nombreux débats sont en cours sur sa fin de carrière, l’ancienne joueuse Andrea Petkovic a affirmé que l’Espagnol, comme addict au tennis, n’avait pas trouvé le bon moment pour tirer sa révérence.

Malgré la fin de sa carrière, Rafael Nadal sait toujours fait parler de lui. En effet, au cours des derniers jours ou même des derniers mois, beaucoup d’observateurs ont affirmé que, meurtri par les blessures, l’Espagnol aurait dû prendre sa retraite plus tôt.

« Gagner des titres est une drogue, jouer sur le Centre Court est une drogue »

C’est également le cas d’Andrea Petkovic. Dans des propos relayés par WeLoveTennis, l’ancienne numéro 9 mondiale a confié que le tennis était comme une drogue, et que cela expliquait sûrement pourquoi Rafael Nadal n’a pas souhaité tirer sa révérence plus tôt. « J’ai vu plusieurs fois Boris Becker ces derniers temps et il m’a dit : ‘C’est comme une drogue. Le tennis est comme une drogue. Il a dit : ‘Gagner des titres est une drogue, jouer sur le Centre Court est une drogue’. Je pense qu’avec Rafa, vous pouvez voir quand cela devient une dépendance, quand cela devient nuisible pour votre vie », a lâché l’ancienne joueuse allemande.

« Je pense qu’il aurait pu être bien meilleur s’il avait eu moins peur »

« On pouvait voir qu’il commençait à négliger son corps, qu’il n’était pas en bonne santé, qu’il se blessait tout le temps, que cela se voyait sur son visage. Rafa n’est pas la personne la plus détendue qui soit. Je vais avoir la plus chaude des prises de position ici. Je pense qu’il aurait pu être bien meilleur s’il avait eu moins peur. L’avez‐vous déjà regardé s’entraîner ? Il jouait à l’entraînement dix fois plus vite qu’en match, car il était tellement tendu et jouait très court. Parfois, on pouvait entrevoir que Rafa serait capable de jouer encore mieux, ce qui est fou », conclut Petkovic.

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