XV de France : La femme qui a changé sa vie !
Pierrick Levallet

Il y a quelques jours, le XV de France a été sacré lors du Tournoi des 6 Nations malgré la grave blessure d’Antoine Dupont contre l’Irlande. Pierre-Louis Barassi, lui, a vécu un tournoi particulier, rythmé par la compétition et ses cours. Il a d’ailleurs révélé qu’une femme lui avait changé et facilité la vie pendant le tournoi.

Il y a quelques jours, le XV de France perdait Antoine Dupont sur blessure. Gravement touché au genou contre l’Irlande, le demi de mêlée du Stade toulousain a donc manqué la fin du Tournoi des 6 Nations. Mais malgré l’absence du joueur de 28 ans, les hommes de Fabien Galthié ont réussi à remporter la compétition. Certains ont d’ailleurs vécu une compétition assez particulière, comme Pierre-Louis Barassi.

«J’ai pu rendre mes devoirs en décalé»

L’un des héros du sacre du XV de France, le centre du Stade toulousain suit en parallèle un master en management à l’emlyon. Pierre-Louis Barassi a d’ailleurs raconté à L’Étudiant comment la directrice de l’école a changé sa vie pendant le Tournoi des 6 Nations pour lui permettre de jongler entre ses deux emplois du temps. « Pendant le Tournoi, j’ai réussi à travailler au début, mais ça s’est compliqué par la suite car les journées étaient très chargées avec la sélection et nous voyagions pas mal. J’ai fait le maximum. Ma directrice s’est montrée conciliante et j’ai pu rendre mes devoirs en décalé. Je peine à rattraper tout ce que j’ai raté pendant les Six Nations » a indiqué le joueur du XV de France.

Barassi ne veut pas être «esclave du rugby»

Pierre-Louis Barassi s’est ensuite confié sur les coulisses de ses cours à distance pendant sa carrière de rugbyman pro. « Je m’interdis de travailler les jours de match, car mon cerveau doit être orienté à 100% vers l’opposition. Je ne peux pas me permettre d’étudier à ce moment-là. J’ai formé un groupe de travail extra avec des camarades pour tenir le rythme. Ma carrière sportive peut s’arrêter du jour au lendemain, si je subis trop de commotions cérébrales par exemple. Je poursuis mes études pour ne pas devenir esclave du rugby, ne pas être obligé de jouer avec le corps cassé ou de continuer sans l’envie... » a lancé le joueur de 26 ans.

Articles liés