Antoine Dupont : Coup dur chez l’ennemi !
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Malgré l'absence d'Antoine Dupont, le Stade Toulousain est venu à bout de Sale en huitième de finale de la Coupe des champions. Toujours privés de leur capitaine, les hommes d'Ugo Mola défieront Toulon en quart de finale, mais comme le rappelle Pierre Mignoni, le RCT doit également déplorer une absence de taille, celle de Charles Ollivon.

Dimanche, sans Antoine Dupont, le Stade Toulousain a été mis en difficulté par Sale avant de finalement s'imposer contre les Anglais (38-15). Qualifiés pour les quarts de finale de la Coupe des champions, les hommes d'Ugo Mola se déplaceront sur la pelouse de Toulon, tombeur des Saracens (72-42) au terme d'un match fou, pour un duel franco-français entre deux clubs qui entretiennent une grosse rivalité.

Mignoni compare les absences de Dupont et Ollivon

Présent en conférence de presse à cette occasion, Pierre Mignoni a d'ailleurs été interrogé sur la comparaison entre l'absence d'Antoine Dupont pour le Stade Toulousain, et celle de Charles Ollivon pour Toulon. « Quand des joueurs comme ça, Antoine ou Charles, des joueurs importants, ne sont pas là d'autres joueurs doivent prendre le relais et comblent le manque », a confié le coach du RCT dans des propos rapportés par L'EQUIPE, avant d'évoquer la prestation toulousaine.

«D'autres joueurs doivent prendre le relais»

« Sale, je les connais bien parce qu'on les a joués pour le dernier match de poule. Ils nous ont fait très mal (défaite 33-7 le 19 janvier, les Anglais avaient inscrit 5 essais). C'est une équipe au-dessus de la norme physiquement. Après, nous, ce sera un autre match. Je m'attendais à ce que ce soit dur comme ça pour Toulouse, avec un match cadenassé. Ils ont réagi en grande équipe, ils ne se sont pas trop affolés. Ils les ont usés, ce n'était pas évident parce que c'était un match fermé. Toulouse a fini par avoir leur peau à l'usure : ils se sont remis dans les contacts, ont regagné les duels », ajoute Pierre Mignoni.

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