JO Paris 2024 - Natation : «C’était magique», Léon Marchand est aux anges !
Hugo Chirossel -
Journaliste
Passionné de football depuis le plus jeune âge, devenir journaliste sportif est rapidement devenu une évidence pour Hugo. Il se découvrira plus tard un amour pour la NBA, avant d’explorer d’autres horizons comme ceux de la Formule 1 et de la NFL.

Déjà vainqueur du 400m 4 nages, du 200 papillon et du 200m brasse, Léon Marchand a enchaîné avec une nouvelle victoire ce vendredi en s’imposant lors du 200m 4 nages. Le Français a ainsi remporté sa quatrième médaille d’or de ces Jeux Olympiques de Paris 2024, un moment magique pour le Toulousain de 22 ans.

Léon Marchand ne pouvait pas rêver mieux. Ce vendredi, le nageur français disputait sa dernière course individuelle de ces Jeux Olympiques de Paris 2024 à l’occasion du 200m 4 nages, qui s’est soldée par une nouvelle victoire. Le Toulousain de 22 ans totalise donc quatre médailles d’or, après ses victoires lors du 400m 4 nages, du 200m papillon et du 200m brasse.

« J’ai encore plus profité que les autres courses »

« C'était magique. C’était ma dernière individuelle, j’ai encore plus profité que les autres courses », a réagi Léon Marchand au micro de Eurosport. « J’ai pris énormément de plaisir sur cette course. J’étais à fond dès le début, je fais un super temps à l’arrivée, je gagne ma quatrième médaille d’or, c’est magique. Je suis un joueur, c’est ce qui m’excite, ce qui me fait nager vite aussi, de jouer avec le chrono, ma façon de nager, d'arriver avec le sourire et de kiffer tout simplement. C’est des moments rares donc je vais m’en souvenir. Ça va être énorme. »

« C’était fou »

« La première médaille est celle qui m’a fait le plus plaisir parce que c’était un moment de libération pour moi », a ajouté Léon Marchand auprès de France 2. « J’étais attendu sur le 400m 4 nages, c’est ma course favorite aussi. Et là je gagne, il y avait toute ma famille, tout mon fan club de Toulouse qui était venu, des USA aussi, il y a des gens qui ont traversé toute la planète pour venir me voir. Je gagne devant 15 000 personnes, il y avait le public français qui était présent, c’était fou. Après la plus difficile vraiment je pense que c’était le 200m papillon, en terme de rivalité forcément avec Kristof Milak. »

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