LeBron James, l’un des plus grands athlètes de l’histoire, captive les foules aux Jeux Olympiques de Paris 2024. Mais il impressionne également ses coéquipiers et son entraîneur, Steve Kerr, qui profite de la compétition pour observer de près un joueur qui lui a posé beaucoup de difficultés en tant que coach NBA. « C’est incroyable de le regarder », a-t-il confié.
LeBron James, meilleur marqueur de l’histoire de la NBA, est une des grandes attractions des Jeux Olympiques de basket. Mais il fascine tout autant les autres membres de Team USA. Steve Kerr, l’entraîneur de la sélection américaine, profite de Paris 2024 pour l’observer de près.
Steve Kerr : « LeBron James est tout simplement incroyable »
« À 39 ans, c’est fou. Pour moi, l’une des meilleures choses de ce voyage a été d’observer LeBron James en coulisses, de voir sa préparation, sa concentration, et de comprendre pourquoi il est comme il est », s’est enthousiasmé Steve Kerr, samedi, après la victoire des États-Unis face à Porto Rico. « C’est incroyable de le regarder. Il aime tellement le basket. Il aime travailler. Il aime ses coéquipiers. LeBron dégage une énergie et une joie qui sont contagieuses dans le vestiaire. Il est évidemment l’un des meilleurs joueurs de tous les temps, mais cela va bien au-delà d’une seule chose. C’est tout, c’est l’ensemble, il est tout simplement incroyable. »
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— le10sport (@le10sport) August 4, 2024
Encore une marge de progression pour Team USA
LeBron James affiche des moyennes de 14,3 points, 7,3 rebonds et 6,7 passes sur les trois matches de poule de Team USA. Parmi les meilleurs marqueurs de l’équipe, il a réussi 64 % de ses tirs depuis le début de la compétition — un taux de réussite exceptionnel. Surtout, il est le maestro de cette équipe et mène l’attaque avec brio.
Le groupe de LeBron James, Stephen Curry et Kevin Durant a encore des progrès à faire, malgré une phase de groupe invaincue et une moyenne de 24 points d’écart face à leurs adversaires. « Il faut mieux prendre soin de la balle », a noté Steve Kerr. « On n’a pas besoin de faire des home runs, juste des actions […] Aussi, nos adversaires prennent beaucoup de rebonds offensifs. Il faut faire en sorte que les adversaires n’aient pas ces possessions bonus. Si on fait cela, que l’on joue simplement et qu’on défend comme on l’a fait (face à Porto Rico), je pense que nous pouvons y arriver. Encore faut-il le faire. »