Un crack français débarque en F1 et déballe les coulisses !
Hugo Chirossel -
Journaliste
Passionné de football depuis le plus jeune âge, devenir journaliste sportif est rapidement devenu une évidence pour Hugo. Il se découvrira plus tard un amour pour la NBA, avant d’explorer d’autres horizons comme ceux de la Formule 1 et de la NFL.

Après Esteban Ocon et Pierre Gasly, un nouveau français va débarquer en Formule 1 la saison prochaine, Isack Hadjar. Liam Lawson ayant remplacé Sergio Pérez chez Red Bull, le pilote âgé de 20 ans a pris sa place chez Racing Bulls, mais il n’en était pas certain jusqu’à il y a encore quelques jours.

Le départ de Sergio Pérez a fait les affaires d’Isack Hadjar. Red Bull ayant décidé de remplacer le Mexicain par Liam Lawson, un baquet s’est libéré chez Racing Bulls et c’est finalement le Français âgé de 20 ans qui a été choisi, lui qui évoluait en Formule 2 cette année.

« Il y avait des moments où j’étais à deux doigts d’être annoncé »

Au micro de Canal+, Isack Hadjar est revenu sur son arrivée en Formule 1 : « Honnêtement, déjà à la mi-saison je savais un peu ce qu’il se passait. Il y avait des moments où j’étais à deux doigts d’être annoncé. Après, on sait comment ça marche dans ce sport, ça va très, très, vite. On se voit plus sur un rôle de réserve l’année d’après, ça fait un peu le yoyo avec mes émotions, mais j’ai su juste rester concentré, performer et montrer que j’ai le niveau d’aller en F1. »

« Jusqu'à il y a deux, trois jours, je n’étais pas encore sûr »

Si l’annonce officielle est tombée vendredi, jusqu'à il y a encore quelques jours, Isack Hadjar n’était pas encore sûr d’être en Formule 1 en 2025. « J’ai appris au Qatar que j’allais être en Formule 1. Avant ça c’était quasiment sûr, mais tant que tu n’as rien signé… C’est un milieu tellement… tellement vicieux, tellement dur que tu te dis qu’à tout moment, honnêtement, à un moment donné, même après le Qatar on m’a dit que, mais tant que je n’ai pas signé je me suis dit “il va se passer un truc”. Honnêtement, jusqu'à il y a deux, trois jours, je n’étais pas encore sûr. Donc il fallait vraiment signer la paperasse, parce qu’on ne sait jamais avec ces gens », a-t-il ajouté.

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