Arrivé en grande pompe durant l’intersaison, Lewis Hamilton connaît des débuts très compliqués chez Ferrari. En grande difficulté à bord de sa monoplace, le septuple champion du monde ne parvient pas à répondre aux attentes pour le moment. Esteban Ocon lui, s’est exprimé sur la crise que traverse la légende britannique au sein de sa nouvelle écurie.

Censé devenir un binôme de choc avec Charles Leclerc chez Ferrari, Lewis Hamilton connaît un début de saison très compliqué. Septième du championnat du monde, la légende britannique ne parvient pas à répondre aux immenses attentes présentes au sein de l’écurie italienne, qui vit un début de saison 2025 cauchemardesque. Régulièrement battu par son coéquipier monégasque, Hamilton doit clairement réagir.
« Les sensations de la voiture sont très différentes »
Durant l’intersaison, Esteban Ocon a lui aussi changé d’équipe. Le pilote français a quitté Alpine pour Haas, et comprend les difficultés que peut rencontre Hamilton chez Ferrari. « C’est très difficile, surtout quand on change de philosophie de voiture. La voiture Haas et la voiture Ferrari ont beaucoup de similitudes, donc je peux comprendre Lewis de ce côté-là. J’ai également piloté la Mercedes dans le passé, donc c’est une façon très différente de piloter la voiture ou d’en extraire le potentiel. Les sensations de la voiture sont très différentes, il n’est donc pas facile de s’y adapter. Mais je suis sûr qu’il trouvera rapidement une solution », a lâché ce dernier, relayé par Next-Gen Auto.
« Lewis a beaucoup plus d’expérience que moi »
« Je pense que si vous venez des formules de promotion et que vous allez directement dans cette voiture, vous mettez de côté tout ce que vous avez appris et vous vous lancez dans cette voiture et vous apprenez de nouvelles choses. Lewis a beaucoup plus d’expérience que moi, il a piloté beaucoup de voitures différentes, mais aussi beaucoup de voitures identiques pendant longtemps. Je comprends pourquoi ce n’est pas facile et je sais aussi que ce n’est pas facile pour moi ou pour Carlos, mais nous y arriverons », conclut Esteban Ocon.