Ecurie prestigieuse de la Formule 1, Ferrari est un rêve pour quasiment tous les pilotes. Après son septième titre mondial, Lewis Hamilton évoque sa relation manquée avec la Scuderia.
Depuis toujours, l'image de la Formule 1 est associée au rouge de Ferrari. Et pour cause, l'écurie de Maranello est présente dans la discipline reine de l'automobile depuis la première saison en 1950. Sept décennies plus tard, la Scuderia est toujours là et, malgré des années difficiles, fait toujours rêver. Ainsi, mêmes les plus grands rivaux du cheval cabré s'imaginent au volant d'une Ferrari. Sebastian Vettel en est le dernier exemple en date. Quadruple champion du monde chez Red Bull et figure du taureau ailé, le pilote allemand a saisi l'opportunité de rejoindre Ferrari en 2015 et n'en partira qu'à la fin de la saison. Lors de son arrivée, Sebastian Vettel succédait à Fernando Alonso, bourreau de Michael Schumacher en 2005 et en 2006 et grand rival des rouges pendant de longues saisons.
« Nos positions ne se sont jamais alignées »
Le même destin a souvent été envisagé pour Lewis Hamilton. Désormais septuple champion du monde comme la légende de Ferrari, le pilote britannique a détaillé ses contacts passés avec la Scuderia dans un entretien accordé à la Gazzetta dello Sport : « Nous n'avons jamais été vraiment proches. Nous avons eu des discussions à quelques occasions, mais nous n'avons pas dépasser le stade d'évoquer les différentes options sur la table, et ce n'était pas les bonnes. Mais nous ne sommes jamais allés au-delà. Nos positions ne se sont jamais alignées, je pense que le timing compte beaucoup et que les choses n'arrivent jamais par hasard. Ces dernières saisons, mon contrat expirait toujours à une année différente des autres pilotes. Au final, voilà comment cela s'est passé ». A déjà 35 ans, Lewis Hamilton serait sur le point de prolonger avec Mercedes. Une association avec Ferrari apparaît plus improbable que jamais.