Après un premier week-end de course assez poussif, Fernando Alonso reconnaît qu'il a du mal à juger le potentiel d'Alpine.
Deux après ans après, Fernando Alonso a de nouveau pris le départ d'un Grand Prix de Formule 1. A Barheïn, il était effectivement de retour au volant d'une Alpine. Mais après des qualifications plutôt abouties conclues à la neuvième place, le pilote espagnol a été contraint d'abandonner en course. Pas nécessairement encourageant comme début de saison, bien que le réel potentiel de sa monoplace soit difficile à juger. C'est en tout cas le constat établi par Fernando Alonso dans des propos rapportés par Nextgen-Auto.
Alonso a du mal à juger son Alpine
« Je le reconnais, c’est difficile à dire. Je pense que nous avons vu des résultats différents au cours du premier week-end et des sentiments mitigés pour tout le monde, y compris nous. Parfois, nous avions l’air un peu mieux, parfois un peu moins bien, selon les séances. C’est la même chose pour tout le monde jusqu’à présent. Même pour les meilleures équipes et les meilleurs pilotes. Ainsi le samedi nous avons eu une impression, le vendredi nous avons eu une autre impression, et après la course nous avons eu encore une impression différente. Attendons donc plusieurs courses pour jauger un peu mieux notre rythme et nos performances relatives. Il faut attendre d’avoir une meilleure vision de la hiérarchie. En attendant, notre travail est d’identifier nos faiblesses, de les résoudre, tout en gardant nos forces. Je pense que la saison sera intéressante pour tout le monde », assure le double Champion du monde.