Alors qu'il semblait parti pour briller à Monaco, Charles Leclerc a été contraint d'abandonner après son accident lors des qualifications. Si le pilote de Ferrari tente de relativiser, il ne peut s'en prendre qu'à lui-même selon Jacques Villeneuve.
Le Grand Prix de Monaco s’annonçait formidable pour Charles Leclerc. Après avoir signé la pole position chez lui, le Monégasque était désireux de briller. Mais au final, le pilote de Ferrari n'a pas pris part à la course. Les analyses effectuées par l’écurie italienne ont révélé une rupture du moyeu de transmission gauche de la monoplace de Charles Leclerc survenu lors de son accident pendant les qualifications juste avant le Grand Prix comme raison de son abandon. Si le pilote de 23 ans essaye de relativiser, pour Jacques Villeneuve, il ne peut s’en prendre qu’à lui-même.
« Il ne peut que s’en vouloir à lui-même, il a tapé le mur, donc on ne peut pas être triste pour lui »
« Il ne peut que s’en vouloir à lui-même, il a tapé le mur, donc on ne peut pas être triste pour lui. Il y a aussi le fait de prendre le risque que la voiture fonctionne. Il partait en pole avec de grandes chances de gagner, on est à Monaco, il faut faire un peu de loterie et s’il avait changé sa boîte ou réparé la voiture, il serait parti des stands, donc ça en valait la chandelle. Mais ce qui était surprenant, c’est que ce n’est même pas la boîte qui a lâché, c’est une partie à gauche, bon par résonance, mais qui est tout de même dû à l’accrochage » a affirmé l’ancien pilote dans un entretien pour la RTBF relayé par NextGen Auto.