F1 - Verstappen : Red Bull annonce une révolution !
Benjamin Labrousse -
Rédacteur
Malgré un double cursus Espagnol/Communication, j’ai décidé de prendre en main mes rêves en me dirigeant vers le journalisme. Diplômé d’un master en journalisme de sport, je couvre l’actualité sportive et footballistique avec toujours autant d’admiration pour les période de mercato, où un club se doit de faire des choix cruciaux pour la saison prochaine.

Récemment arrivé à la tête de Red Bull, le Français Laurent Mekies souhaite imposer sa vision et sa manière de faire au sein de l’écurie autrichienne. Nouveau superviseur de Max Verstappen, l’ancien ingénieur de Ferrari souhaite surtout marquer une révolution vis-à-vis de son prédécesseur, Christian Horner, qui n’entretenait pas de bonnes relations avec les chefs d’équipes concurrentes.

Le changement de cap est prévu chez Red Bull. Après le licenciement de Christian Horner, l’écurie autrichienne a décidé de promouvoir Laurent Mekies, autrefois directeur au sein de l’écurie filiale Racing Bulls. Et s’il doit désormais optimiser les performances de Max Verstappen, le Français souhaite également aborder les relations avec les autres écuries d’une manière différente de celle de son prédécesseur.

Laurent Mekies fonctionne différemment de Christian Horner

« La compétition sur la piste est une chose, mais discuter ensemble pour définir les positions pour l’avenir du sport sur les décisions stratégiques clés que nous devons prendre est quelque chose de normal entre concurrents », a ainsi confié Laurent Mekies dans des propos relayés par F1Only.

« Nous avons de très bonnes relations avec Zak, avec Andrea, mais aussi avec Toto et Fred »

 « Même si nous sommes en désaccord et que nous défendons simplement nos intérêts à court ou moyen terme, la vérité est que nous avons de très bonnes relations avec Zak, avec Andrea [Stella], mais aussi avec Toto et Fred [Vasseur] et Mattia [Binotto] et tous les autres, poursuit Mekies. C’est un très bon groupe et je pense que la Commission F1 a suffisamment travaillé ensemble pour être consciente que si nous voulons vraiment que ce sport reste au plus haut niveau, il mérite un groupe qui essaie de mettre de côté ses intérêts à court et moyen terme pour discuter avec la FIA et la F1 de la manière de le faire progresser. C’est ce que nous essayons de faire, nous ne cachons pas nos préférences, mais nous essayons d’être constructifs sur la manière d’y parvenir. »

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