Christian Horner, récemment licencié de Red Bull Racing, pourrait rebondir plus vite que prévu. Selon plusieurs sources, le Britannique serait ciblé par Alpine, en quête d’un nouveau leader. L’ancien patron de Verstappen nourrirait même de plus grandes ambitions : entrer au capital de l’écurie française. Un potentiel séisme dans le paddock.
Licencié par Red Bull Racing, l’écurie de Max Verstappen, Christian Horner reste officiellement sous contrat jusqu’à la fin de son préavis, potentiellement jusqu’en 2026. Le Britannique prend donc son temps avant de rebondir. « Il est urgent d’attendre », glisse-t-on dans son entourage. S’il est encore tôt pour connaître ses intentions exactes, plusieurs options s’ouvrent à lui dans le paddock, comme le rapporte L’Auto-Journal.
Un départ est annoncé…
Si un départ de la F1, après son licenciement de l’écurie de Max Verstappen, est envisagé par certains, Karun Chandhok, consultant chez Sky Sports F1, estime au contraire qu’une opportunité pourrait l’attirer du côté d’Alpine.
« Christian pourrait se diriger vers Alpine, estime-t-il. Il est très proche de Flavio Briatore, tous les deux ont fait partie du premier cercle de Bernie Ecclestone, et des discussions sont probablement déjà en cours. En obtenant une opportunité à Enstone, il resterait dans la même région sans bouleverser sa vie familiale, alors qu’un déménagement en Italie constituerait un grand sacrifice personnel. »
… pour un gros projet !
Les ambitions de Horner pourraient aller plus loin. Il viserait une entrée au capital d’Alpine, suivant l’exemple de Toto Wolff chez Mercedes. Plusieurs investisseurs seraient prêts à racheter les 75 % de parts détenues par Renault, à hauteur d’un milliard de dollars. Horner pourrait ainsi devenir copropriétaire d’une équipe F1, son objectif ultime. Mais un tel scénario demande des mois de négociations et une volonté politique claire au sein de Renault. Un départ tonitruant de Red Bull Racing.