F1 : «L’amour de ma vie…», les confessions intimes de Lewis Hamilton !
Hugo Chirossel -
Journaliste
Passionné de football depuis le plus jeune âge, devenir journaliste sportif est rapidement devenu une évidence pour Hugo. Il se découvrira plus tard un amour pour la NBA, avant d’explorer d’autres horizons comme ceux de la Formule 1 et de la NFL.

Bien qu’il apporte beaucoup d’importance à la famille, Lewis Hamilton n’a pas encore fondé la sienne. S’il estime qu’avoir des enfants et être pilote sont compatibles, « ça ne s’est juste pas produit » pour le pilote Ferrari, dont la priorité est et a toujours été la Formule 1, qu’il décrit comme « l’amour de ma vie ».

Dans un entretien accordé à L’Équipe, Lewis Hamilton a expliqué pourquoi, à 40 ans, il n’avait toujours pas fondé une famille. Le septuple champion du monde n’est pas contre, mais n’en fait pas une priorité et veut avant tout se consacrer pleinement à la Formule 1.

« L'amour de ma vie, c'est la F1 »

« On peut clairement, parce que des pilotes ici en ont. De grands sportifs que je respecte aussi. Je suis toujours impressionné par Roger Federer, Novak Djokovic et d'autres grands comme Tom Brady qui ont une famille et continuent à performer. Pour moi, ça ne s'est juste pas produit. Ce n'est pas une priorité. Ma priorité a été mon amour pour la Formule 1. L'amour de ma vie, c'est la F1. J'aime ce travail presque plus que tout. Ma nièce et ma famille seront toujours la priorité mais... Je n'aime pas faire les choses à moitié, je ne donnerais pas 100 %. Je ne dis pas que les autres ne le font pas », a confié Lewis Hamilton.

« Je n'ai pas à choisir et je suis heureux de me concentrer sur une seule chose »

Le pilote Ferrari poursuit : « Je dois être obstiné, m'entraîner, être super appliqué, impliqué. Quelque chose doit forcément en pâtir. Je ne veux pas être en position de choisir : soit la course souffre pour que la famille réussisse soit la famille souffre pour que la course réussisse. Pour l'instant, je n'ai pas à choisir et je suis heureux de me concentrer sur une seule chose. Et, même si je sacrifie tout pour ça, c'est très dur de réussir. Bien sûr, j'ai imaginé dans ma tête combien ce serait cool d'avoir un de mes enfants qui vienne voir la Ferrari, s'émerveille, puisse monter dedans, partage cet univers. Parce que la course a été la plus grande partie de ma vie, depuis que je suis tout petit. »

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