F1 - «Ils ne voulaient pas de lui» : L'annonce choc sur le transfert de Lewis Hamilton !
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Le début de saison a clairement été marqué par les débuts de Lewis Hamilton chez Ferrari. Un véritable évènement à l'échelle de la Formule 1, mais le Britannique ne parvient pas à justifier les attentes placées en lui. D'ailleurs, selon l'ancien pilote Arturo Merzario, l'immense majorité des employés chez Ferrari n'étaient pas favorables à la signature de Lewis Hamilton.

L'annonce du transfert de Lewis Hamilton chez Ferrari avait fait l'effet d'une bombe. Il faut dire que l'un des meilleurs pilotes de l'histoire rejoignait l'équipe la plus iconique de tous les temps en F1. Mais les débuts du pilote britannique sont loin de répondre aux attentes suscitées par sa signature. En effet, le septuple champion du monde n'est toujours pas monté sur le podium en course pendant que Charles Leclerc a signé une pole position et a terminé cinq fois dans les trois premiers. Une situation qui laisse craindre un fiasco totale pour Lewis Hamilton. Et les propos d' Arturo Merzario, qui a couru pour Ferrari dans les années 1970, ne devraient pas arranger les choses.

Le transfert d'Hamilton ne faisait pas l'unanimité chez Ferrari

« Pour moi, sa signature était une opération commerciale. D’après ce que je sais, 90% des employés n’étaient pas favorables à cette décision. Pourquoi se battre pour trois dixièmes si c’est pour rester sur la troisième ligne de la grille ? », a-t-il confié à La Gazzetta dello Sport avant de poursuivre.

«90% des employés n’étaient pas favorables»

« Ce n’est pas fini. Il attend juste la bonne opportunité. Il ne prendra pas de risques pour une huitième place, mais il saura attaquer quand il faudra. Et s’il voulait partir, il retrouverait une autre équipe sans problème. Cela m’a semblé un brin ironique. Mais c’est vrai qu’une telle position est inacceptable pour un septuple champion du monde. J’ai l’impression que Lewis se sent aujourd’hui détruit par Ferrari », ajoute Arturo Merzario.

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