Après vingt ans à diriger l’équipe Red Bull, Christian Horner a finalement été remplacé il y a quelques semaines par le Français Laurent Mekies. Si le Britannique avait connu une année compliquée, Juan Pablo Montoya estime qu’une potentielle clause dans son licenciement empêcherait l’ancien directeur de Max Verstappen de faire son retour en Formule 1.
Au début du mois de juillet, Red Bull provoquait un séisme dans le monde de la Formule 1. L’écurie autrichienne où officie Max Verstappen, décidait de se séparer de son directeur Christian Horner, pourtant à la tête de l’équipe depuis vingt ans. « Après un incroyable voyage de vingt ans ensemble, c'est avec le coeur lourd que je dis aujourd'hui au revoir à l'équipe que j'ai aimée d'un amour absolu. Chacun d'entre vous, ces magnifiques personnes à l'usine, vous avez été le coeur et l'âme de tout ce que nous avons accompli. Victoire ou défaite, à chaque étape de cette aventure, nous sommes restés unis et je n'oublierai jamais ça. Ce fut un privilège de faire partie de cette équipe, de la mener, et je suis très fier de tout ce que nous avons accompli, et de vous », confiait avec émotion l’ingénieur britannique au moment de son départ.
Horner ne reprend pas de service
Avec une telle expérience, nul doute que Christian Horner aurait pu rapidement retrouver un poste en Formule 1. Remplacé par Laurent Mekies chez Red Bull, Horner n’a toujours pas repris de service, mais pourquoi ? L’ancien pilote Juan Pablo Montoya s’est penché sur la question et selon lui, deux options existent : la première serait tout simplement d’ordre financier, tandis que la seconde serait l’existence d’une clause secrète.
« Peut-être qu'une clause de non-concurrence de l’accord stipule qu’il ne peut plus travailler en F1 »
« Si Christian en a l’occasion, il reviendra. On ne sait pas s’il le souhaite ou non. Avec tout ce qui s’est passé, et la somme que Red Bull a dû lui verser, il est à l’abri financièrement. Peut-être qu'une clause de non-concurrence de l’accord stipule qu’il ne peut plus travailler en F1 ? C’est la seule chose qui pourrait l’en empêcher », a ainsi confié Montoya, relayé par Next-Gen Auto.