Crise avec Hamilton : «Je ne peux pas accepter», Leclerc balance !
Benjamin Labrousse -
Rédacteur
Malgré un double cursus Espagnol/Communication, j’ai décidé de prendre en main mes rêves en me dirigeant vers le journalisme. Diplômé d’un master en journalisme de sport, je couvre l’actualité sportive et footballistique avec toujours autant d’admiration pour les période de mercato, où un club se doit de faire des choix cruciaux pour la saison prochaine.

Après une séance de qualifications catastrophique ce samedi, Lewis Hamilton et Charles Leclerc ont sauvé les meubles pour Ferrari ce dimanche. 4èmes et 6èmes du Grand Prix d’Émilie-Romagne, les deux pilotes de la Scuderia ont retrouvé des couleurs, même si du côté du Monégasque, la situation actuelle au sein de l’écurie italienne ne passe toujours pas.

Ferrari s’en sort bien. Après un samedi après-midi désastreux à Imola, l’écurie italienne a parfaitement géré sa course ce dimanche. Lewis Hamilton n’est pas passé loin du podium, tandis qu’un Charles Leclerc malheureux a terminé à la sixième place. Si du rythme est présent en course, le Monégasque ne digère pas la crise que traverse la « Scuderia » depuis plusieurs mois.

« C'est frustrant parce qu'on avait fait une bonne course globalement »

« C'est frustrant parce qu'on avait fait une bonne course globalement. Malheureusement, les deux voitures de sécurité sont tombées au pire moment pour nous. La deuxième, on n'a même pas pu le prendre parce qu'on n'avait pas beaucoup de pneus disponibles, on n'avait pas les softs, et en plus Lewis [Hamilton] a décidé de s'arrêter au dernier moment, moi je ne savais pas trop combien de places j'allais perdre en faisant le double arrêt derrière Lewis, je savais que j'allais perdre plus de temps, donc j'ai préféré ne pas prendre le risque. Je ne me suis pas arrêté. Mais bon c'est comme ça, c'est décevant parce qu'au début je pensais que tout allait plutôt dans le bon sens, avec un bon rythme, une bonne performance », a confié Leclerc après la course, relayé par Motorsport.com.

« Je ne peux tout simplement pas accepter la situation dans laquelle on se trouve »

« Je le disais avant la course : c'était une de ces manches où il faut courir avec le cœur et sortir un peu les coudes. Et je sais que dans ce genre de situations, on roule vraiment à la limite, parfois un peu au-delà. Mais... quand on part onzième, en tant que pilote, je ne peux tout simplement pas accepter la situation dans laquelle on se trouve », conclut le pilote Ferrari.

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