Une star va signer à l'OM, il annonce du lourd
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

En fin de contrat le 30 juin, Alexis Sanchez discute actuellement pour prolonger à l'OM. Pour le moment aucun accord n'a été trouvé. Et pour cause, Jérôme Rothen explique que si le Chilien accepter de rester à Marseille, c'est qu'il a obtenu des garanties en vue de la saison prochaine et notamment concernant le mercato qui s'annonce brûlant sur la Canebière.

L'avenir d'Alexis Sanchez sera l'un des dossiers brûlants du mercato de l'OM. Et pour cause, le contrat de la star chilienne s'achève le 30 juin et pour le moment, aucun accord n'a été trouvé pour prolonger. Jérôme Rothen s'est prononcé sur ce dossier et assure que les demandes de l'ancien d'Arsenal sont légitimes notamment en terme de mercato.

«Qu’il demande un salaire supérieur, c’est logique»

« Ce qui est normal c’est que quand tu fais une bonne saison, à n’importe quel âge, et que t’estime être un joueur leader, c’est que t’es le meilleur salaire. Qu’il demande un salaire supérieur, c’est logique et ça fait partie de la négociation et on n’est tous passés par là. Et il obtiendra ça. Le club doit faire en sorte que le joueur doit être heureux », explique l'ancien joueur du PSG au micro de Rothen s'enflamme sur RMC, avant d'en rajouter une couche.

«L’OM doit lui vendre une ambition sportive»

« Déjà rien que par rapport à l’âge, Alexis Sanchez sait très bien que les grandes années où il a gagné le plus d’argent c’était il y a dix ans. Ce n’est pas maintenant. Après qu’il estime que cette saison a été intéressante pour lui, en effet, les statistiques sont bonnes. Il est exemplaire. Ce qui est logique c’est que l’OM doit lui vendre une ambition sportive. En disant qu’il va y avoir tel ou tel recrutement. La construction de l’équipe, ce sont des réponses qu’il doit avoir avec ses imprésarios », ajoute Jérôme Rothen.

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