Mercato - PSG : Bartomeu, Griezmann... La révélation du clan Neymar sur son départ avorté !
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Au cœur d'un énorme feuilleton l'été dernier concernant ses velléités de départ, Neymar n'a pu retourner au FC Barcelone. Selon Josep Pons, ancien conseiller d'image du Brésilien, son retour a été rendu impossible par... Antoine Griezmann.

Il y a un an, Neymar est passé proche d'un retour au FC Barcelone. Deux ans après son arrivée, le Brésilien voulait quitter le PSG afin de retourner en Catalogne. Impliqué dans un énorme feuilleton qui aura duré plusieurs mois, le numéro 10 de la Seleçao est finalement resté au PSG. Et pour cause, le FC Barcelone n'a pas pu répondre aux exigences parisiennes. Selon Josep Pons, ancien conseiller d'image du Brésilien, le transfert d'Antoine Griezmann, qui avait rejoint le Barça quelques semaines plus tôt pour 120M€, a rendu impossible le retour de Neymar.

Griezmann a rendu impossible le retour de Neymar

« Prenons la question autrement. Messi lui avait dit qu'il l'aiderait à gagner le Ballon d'Or. Ils avaient un feeling exceptionnel avec Suarez, Piqué, Xavi, Iniesta... Ils formaient une bande qui s'entendait à merveille, sans jalousie. ça se retranscrivait sur le terrain : on voyait souvent Messi en position de marquer qui préférait servir Neymar ou Suarez et vice versa. Cette entente fut le facteur numéro 1 à ses envies de retour. A Paris, il a trouvé une autre ambiance, un autre vestiaire, qui n'avaient rien à voir. Je pense qu'il a fait une erreur en partant. S'il était resté, ils auraient pu gagner d'autres C1 ces dernières années. Quand tout le monde s'en est rendu compte, ses amis (du Barça) lui ont demandé de revenir mais le président (Josep Maria Bartomeu) avait investi l'argent disponible sur Griezmann. La grande erreur du président a été de ne pas le récupérer quand il l'aurait pu. Aujourd'hui, économiquement, c'est impossible », assure-t-il à L'Equipe.

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