Mercato - OL : Garcia préféré à Blanc, la vérité est révélée
Thibault Morlain -
Journaliste
Après s’être essayé à différents sports, Thibault se tourne vers une carrière de footballeur amateur. Au moment de faire un choix entre devenir footballeur professionnel et journaliste, les qualités ont fait pencher la balance d’un côté. Le voilà désormais au sein de la rédaction du 10 Sport, après un diplôme obtenu à l’Institut International de Communication de Paris.

Alors que l’OL a décidé de faire confiance à Laurent Blanc pour remplacer Peter Bosz, l’arrivée du Cévenol aurait pu être acter bien avant pour les Gones. Finalement, en 2019, le choix de nommer Rudi Garcia avait été fait. Et alors que la faute était rejetée sur Juninho concernant cette décision, l’ex-directeur sportif de l’OL a souhaité rétablir la vérité. 

Laurent Blanc est donc enfin de retour au premier plan sur un banc en Europe. L’ancien entraîneur du PSG et de Bordeaux a ainsi pris les commandes de l’OL. Blanc est désormais sur le banc des Gones, une image qu’on aurait pu voir il y a quelques saisons déjà. En effet, en 2019, il était déjà question d’une arrivée du Cévenol à l’OL, mais c’est finalement Rudi Garcia qui avait été préféré. 

Juninho pointé du doigt 

Malheureusement pour l’OL, cela n’a pas forcément été une réussite avec Rudi Garcia et Jean-Michel Aulas n’avait pas manqué de critiquer Juninho, son ex-directeur sportif, pour cela : « J'avais pris un engagement vis-à-vis de celui que j'avais recruté de lui laisser la responsabilité de choisir. Là, j'ai fait une erreur, je le reconnais ». 

Il répond à Aulas

Est-ce alors de la faute de Juninho si Laurent Blanc n’est pas arrivé à l’OL plus tôt ? Au micro de RMC, le principal intéressé a donné sa version des faits. Et le Brésilien a alors réglé ses comptes avec Jean-Michel Aulas, lâchant : « Il sait que ce n’est pas moi qui ai refusé Laurent Blanc tout seul. Je pense que Jean-Michel Aulas a eu peur d’assumer, mais cela ne me dérange plus. On le connait, il parle et c’est comme cela. Bien sûr que ce n’est pas moi qui ai décidé tout seul. Mais si c’était moi, j’assumerais tout. (…) Il sait qu'il était allé vraiment loin. Je ne sais pas... Mais on laisse passer les jours. Il sait qu'il était allé vraiment loin. Et ça, cela ne se fait pas ». 

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