Annoncé à l’OM, un attaquant explique son choix sur le mercato
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Cet été, l’OM avait pour ambition de renforcer drastiquement son secteur offensif, ce qui a été fait avec notamment la signature de Pierre-Emerick Aubameyang. Mais avant cela, le club phocéen a également tenté de recruter Falorin Balogun qui s’est finalement engagé avec l’AS Monaco en fin de mercato. Un choix qu’il a expliqué.

Balogun revient sur son été agité...

« Arteta ne m’a pas dit grand-chose, il m’a juste dit bravo quand je suis revenu et il m’a encouragé à continuer. Quand je suis revenu lors de la présaison, je voulais voir si j’entrais dans ses plans et si je pouvais continuer à jouer certains matches. Il m’a dit qu’il essaierait de m’impliquer du mieux qu’il pouvait, mais il m’a aussi dit que les personnes au-dessus de lui prenaient des décisions à mon sujet et voyaient ce qui serait le mieux pour moi. Le dialogue entre lui et moi était bon, mais il dépendait davantage du club, de ce qu’il voulait faire », confie l’attaquant américain au micro d’ESPN, avant de justifier sa signature à l’AS Monaco.

... et justifie son transfert à l'AS Monaco

« Ce n’était pas entre mes mains, c’est ce que j’ai perçu. (…) Partir en France ? J’ai pris ce risque, je me suis assis avec mon agent et ma famille et je me suis dit : je sais que j’ai la capacité de le faire et je vais le faire et je vais presque vous prouver que vous avez tort. Au final, j’y suis parvenu. C’est beaucoup plus difficile que je ne le prétends. Il y a eu beaucoup de défis, surtout en dehors du terrain, cela m’a aidé à me développer en tant qu’homme. (…) Si je venais à Monaco et si je parvenais à améliorer ma saison de l’année dernière, je sentais que ce serait un très bon ajout pour moi et que nous pourrions réaliser de bonnes choses », ajoute Falorin Balogun.

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