PSG : Neymar clashé, elle lâche un tacle surréaliste
Hugo Chirossel -
Journaliste
Passionné de football depuis le plus jeune âge, devenir journaliste sportif est rapidement devenu une évidence pour Hugo. Il se découvrira plus tard un amour pour la NBA, avant d’explorer d’autres horizons comme ceux de la Formule 1 et de la NFL.

Alors que le football féminin suscite de plus en plus d’engouement en Allemagne, Sophia Kleinherne a une explication. D’après la joueuse de l’Eintracht Francfort, si plusieurs raisons peuvent expliquer cela, elle estime que les footballeuses en rajoutent moins que leurs homologues masculins. Pour appuyer ses propos, l’internationale allemande a pris l’exemple de Neymar.

Un tacle pour le moins inattendu. Dans un entretien accordé à l’édition allemande de Playboy, Sophia Kleinherne a été interrogée sur l’évolution du football féminin en Allemagne. La sélection féminine suscite de plus en plus de sympathie de l’autre côté du Rhin, contrairement à celle des hommes. La joueuse de l’Eintracht Francfort, âgée de 23 ans, estime qu’il y a moins de simulation dans le football féminin, ce qui serait une des explications. Et pour illustrer ses propos, Sophia Kleinherne a pris Neymar comme cible.

« Nous fournissons des performances de haut niveau avec passion et motivation »

« Plusieurs facteurs se conjuguent. D'une part, les nouveaux spectateurs remarquent que nous fournissons des performances de haut niveau avec passion et motivation. Ensuite, on ne sait pas autant de choses sur nous que pour les hommes, qui bénéficient d'une présence médiatique permanente. En fin de compte, nous sommes aussi plus accessibles pour le public », a déclaré Sophia Kleinherne.

« Je ne connais par exemple aucune joueuse qui reste allongée deux ou trois minutes »

« Ce n'est pas une critique à l'égard des hommes, chez qui on a atteint de telles proportions (dans l'exposition médiatique, ndlr) qu'ils ne peuvent plus tout laisser faire. Mais je pense que nous avons réussi à inspirer les spectateurs avec un football plus honnête (...) Je crois que nous n'en faisons pas toujours autant dans certaines situations. Je ne connais pas de Neymar au féminin. Je ne connais par exemple aucune joueuse qui reste allongée deux ou trois minutes », a ajouté Sophia Kleinherne.

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