PSG - Malaise : Donnarumma lâche ses vérités sur sa relation avec Navas !
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Arrivé libre cet été en provenance de l'AC Milan, Gianluigi Donnarumma a été placé en concurrence avec Keylor Navas. Mais l'Italien assure que les deux portiers s'entendent bien.

Cet été, le PSG a décidé de sauter sur l'opportunité qui s'est présentée avec Gianluigi Donnarumma. Libre de tout contrat suite à la non-prolongation de son bail avec l'AC Milan, le portier italien, élu meilleur joueur de l'Euro, s'est engagé avec le club de la capitale qui compte pourtant dans ses rangs un certain Keylor Navas qui sortait de deux très belles saisons. Les deux gardiens cohabitent donc dans le même effectif et Mauricio Pochettino a décidé de jouer sur l'alternance en partageant le temps de jeu de ses gardiens. Cela fonctionne puisqu'ils sont très bons lorsqu'ils jouent. Et malgré la concurrence, Gianluigi Donnarumma assure que tout va bien avec Keylor Navas.

«Keylor et moi sommes unis, à l'image de tout le vestiaire»

« Avec Keylor, j'entretiens un excellent rapport, il n'y a pas le moindre conflit. Il arrive que des gens parlent à tort et à travers, se mettent à imaginer des situations compliquées. On ne peut rien y faire. Mais ce n'est aucunement la réalité. Nous sommes tous les deux amis et tout se passe très bien entre nous. Keylor et moi sommes unis, à l'image de tout le vestiaire. Vous savez, nous sommes deux garçons très tranquilles et respectueux. Après, c'est sûr qu'au PSG, je me trouve dans une situation nouvelle pour moi (la concurrence avec un autre gardien de premier plan et l'alternance entre titularisations et passages sur le banc), mais je le vis très bien. Cela m'aide à mûrir. Comme de découvrir un nouveau Championnat, qui est clairement monté en puissance. La Ligue 1 est très compétitive. Mais je ne suis pas surpris car, de l'extérieur, j'avais décelé que rien n'y est joué d'avance et qu'elle avait un tel niveau, comme l'ont démontré les Championnats très disputés de ces dernières saisons. Si tu n'es pas à 110 %, tu ne gagnes pas les matches. Si ton adrénaline baisse un peu, tu te retrouves en difficulté », confie-t-il dans une interview accordée à L'Equipe.

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