Affaire Galtier : «Je ne le reconnais plus», son clan déballe tout
Thomas Bourseau

Christophe Galtier enchaîne les polémiques et les déceptions sportives au PSG cette saison. Le scandale raciste qui a fait irruption cette semaine semble être la goutte d’eau qui a fait déborder son vase d’après son entourage. Explications. 

Les jours se suivent et s’assombrissent à Paris pour Christophe Galtier. Déjà dans le collimateur des hauts dirigeants du PSG et de l’opinion publique en raison des résultats plus qu’alarmants du ParisSaint-Germain en cette année 2023, ChristopheGaltier figurerait plus que jamais sur la sellette et se serait déjà fait une raison selon Le Parisien : il ne passera pas l’été au PSG bien que son contrat n’expirera qu’en juin 2024. 

«Christophe est passé du poste rêvé à un poste cauchemardesque»

La faute notamment au scandale raciste dont il est le protagoniste après les révélations de propos de JulienFournier, ancien directeur sportif du GYM, avec qui ChristopheGaltier a eu des différends la saison passée. D’après le mail en question, Galtier aurait eu des propos racistes envers les communautés noire et musulmane de l’OGC Nice. En conférence de presse, ChristopheGaltier a réfuté toutes les informations en disant se sentir « sali ». Un membre de son premier cercle a évoqué à quel point l’entraîneur du PSG était touché dans Le Parisien.« Depuis dix jours, c’est dur, il est fatigué et a l’impression de ne jamais pouvoir travailler tranquillement. Christophe est passé du poste rêvé à un poste cauchemardesque ». 

«Il n’est plus le même, je sens qu’il est dans une broyeuse»

Sa mine, ses cheveux de plus en plus grisonnants, ChristopheGaltier a bien du mal à cacher son mal-être au PSG ces derniers temps et ça se répercute sur sa communication selon un autre proche du coach du PSG qui a livré le témoignage suivant au Parisien. « Dans sa com, sa façon d’être, je ne le reconnais plus. Il n’est plus le même, je sens qu’il est dans une broyeuse. Ses cheveux me semblent plus gris, ses traits plus marqués… Coacher à ce niveau n’a jamais été un long fleuve tranquille, mais il ne faut pas que ça devienne un calvaire non plus. Pour être bon, il faut pouvoir être soi-même. Or, là, il n’est plus dans la réalité, je ne le reconnais plus. Si tu arrives sur le terrain avec la tête gangrénée par l’extrasportif, comment veux-tu y arriver ? ». 

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