Alors qu’il ne compte qu’un seul but à son actif en Ligue 1, Pierre-Emerick Aubameyang en a inscrit cinq en Ligue Europa cette saison, dont trois jeudi soir face à l’Ajax Amsterdam, offrant ainsi la victoire à l’OM. Malgré ses difficultés en championnat, Gennaro Gattuso a toujours maintenu sa confiance en lui, tout comme Geoffrey Kondogbia.
« Il s’appelle Aubameyang et il a été massacré. » Après la victoire de l’OM lors de la réception de l’Ajax Amsterdam (4-3), Gennaro Gattuso a défendu Pierre-Emerick Aubameyang. Ce dernier a inscrit un triplé, permettant ainsi à son équipe de s’imposer et de conserver la tête de son groupe avant de se rendre à Brighton dans deux semaines. Si le Gabonais a été beaucoup critiqué depuis qu’il est arrivé à l’OM, son entraîneur n’a jamais douté de lui.
Gattuso fait son mea-culpa avec une recrue de l’OM https://t.co/jLEo8wg5bq pic.twitter.com/wUAeiUO55v
— le10sport (@le10sport) December 1, 2023
Gattuso a toujours cru en Aubameyang
« Je n'ai rien à dire, pour être franc. Je suis un des rares qui n'a rien dit sur lui. Je suis content pour l'athlète qu'il est, pour le joueur qu'il est. Je ne suis pas surpris, parce que je ne lui donne rien, je ne donne rien à Pierre Aubameyang, quand je dis qu'il a 35-36 km/h de vitesse, qu'il est encore un joueur vivant, je ne lui donne rien. Je suis content de ses trois buts, mais je savais que, en travaillant ainsi, ce moment-là arriverait. J'y ai toujours cru », a ajouté Gennaro Gattuso.
«On connaît sa qualité, on sait ce qu’il nous apporte»
À l’instar de l’entraîneur de l’OM, Geoffrey Kondogbia a lui aussi toujours cru en Pierre-Emerick Aubameyang : « Ce n’est pas qu’il peut ou qu’il doit, c’est qu’il va nous faire la différence. Ce n’est pas aujourd’hui qu’on le découvre. On connaît sa qualité, on sait ce qu’il nous apporte. On espère que ça continue comme ça. Je le vois libre depuis qu’il est arrivé. On le côtoie au quotidien, pour nous, on voit qu’il est libéré et il sait ce qu’il a à faire. Après, dans le football, il y a des hauts et des bas, comme tout le monde », a-t-il déclaré, dans des propos relayés par le journal Le Parisien.