Le 19 décembre prochain, cela fera un an que John Textor est devenu le propriétaire de l'OL. Une première année de mandat tumultueuse, l'OL étant actuellement dernier de Ligue 1 après 15 journées. Très souvent critiqué depuis le début de son mandat, l'homme d'affaires américain conscient qu'il ne peut pas être tous les jours au sein du club lyonnais, avait demandé à Tony Parker de prendre sa place à la tête de l'OL. Une décision qu'il a expliqué.
Cela va bientôt faire un an que John Textor est devenu propriétaire de l'OL. L'Américain, qui détient également les clubs de Botafogo et Molenbeek, est souvent critiqué par ses absences répétées à la tête du club. Tony Parker s'était alors assis à sa place lors d'un match face au FC Metz, même si l'ancienne légende des Spurs de San Antonio l'a avoué plus tard, au micro de BFM TV : « en aucun cas, je serai là au quotidien, ni être président ou président-délégué. Ce ne sera pas mon rôle à l’OL. »
«J’ai l’impression que, en France, on veut que les clubs aient une sorte de patriarche à leur tête»
Dans une interview accordée au journal Le Monde, John Textor a été interrogé sur ses absences répétées à la tête du club de l'OL, qui font parler, ce qui explique la présence de Tony Parker : « J’ai l’impression que, en France, on veut que les clubs aient une sorte de patriarche à leur tête. Mais, pour moi, le patriarche du club, c’est l’entraîneur ! On me dit que les supporteurs veulent un patriarche qui fait face aux caméras pour protéger les joueurs après un mauvais résultat. C’est à l’entraîneur ou aux joueurs de parler ! Un joueur payé 3 millions d’euros par an peut être célébré quand il gagne, mais il peut aussi aller répondre aux questions quand il perd. »
OL : Rebondissement pour l’arrivée d’un ancien de l’OM ? https://t.co/xRmOIu6wZy pic.twitter.com/IEjeOHJl43
— le10sport (@le10sport) December 10, 2023
«J’aime ma vie en Floride et ma maison aux Bahamas»
L'homme d'affaires américain avoue être trop attaché à sa région floridienne : « Je ne pense pas qu’un propriétaire ait sa place dans un vestiaire. Je ne peux pas assister à tous les matchs. Je suis un gars de Floride, j’aime ma vie en Floride et ma maison aux Bahamas. »