Rayan Cherki en Algérie : La nouvelle bombe !
Guillaume de Saint Sauveur -
Journaliste
Diplômé d’Ecole de Journalisme à Paris. Spécialisé football, et plus particulièrement sur le mercato. Fan du PSG et du Stade Français.

Dans un entretien accordé à L'EQUIPE dimanche, Rayan Cherki se confiait sans détour sur la sélection algérienne en niant tout contact avec la Fédération, lui qui a finalement opté pour l'équipe de France où il vient d'être convoqué pour la première fois. Mais le journaliste Romain Molina relance cet épineux feuilleton Cherki en Algérie avec de nouvelles révélations.

C'est désormais officiel, Rayan Cherki (21 ans) portera les couleurs de l'équipe de France et non de l'Algérie pour son futur international. Ce dossier a fait débat pendant plusieurs années, mais l'attaquant de l'OL a finalement opté pour les Bleus avec qui il vit actuellement son tout premier rassemblement. D'ailleurs, dans un entretien accordé à L'EQUIPE dimanche, Cherki a clairement affirmé n'avoir jamais eu de contacts concrets avec l'Algérie par le passé.

Cherki nie les discussions avec l'Algérie

« Pour être franc et sincère, je n’ai jamais eu de contacts officiels avec les deux sélections. Avant que je ne débute ma carrière, en 2019, mon père a pu croiser Djamel Belmadi, via un ami en commun, lors d’un de ses passages à Lyon. Mais depuis, les seules personnes qui ont pu m’en parler, ce sont deux ou trois joueurs que je connais personnellement, et il y a quelques semaines Paolo Rongoni (préparateur physique de la sélection algérienne), que j’ai côtoyées à Lyon. Mais je n’ai jamais parlé avec un sélectionneur ou un président d’une autre Fédération, aucun n’a même essayé de me joindre », a lâché Rayan Cherki. Et pourtant...

« C'était clairement un second choix »

Via un post sur son compte X, le journaliste Romain Molina a lâché une bombe sur les discussions entre Rayan Cherki et la fédération algérienne : « C'est peu dire que la fédération algérienne n'a pas apprécié les récentes déclarations de Cherki... Il y a bien eu des contacts (indirects, surtout, avec des personnes travaillant pour le joueur ou de sa famille), des rendez-vous ratés et jamais de véritable emballement pour un joueur qui pensait être sélectionné en équipe de France depuis un moment. L'Algérie, comme pour d'autres binationaux, était clairement un second choix au cas où », lâche Molina. Reste donc à démêler le vrai du faux...

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