Marion Rousse : Sa difficile séparation avec Julian Alaphilippe
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Invitée à commenter sa vie et ses nombreuses fonctions, Marion Rousse a notamment évoqué ses séparations difficiles avec Julian Alaphilippe. Alors que la saison va commencer, le nouveau coureur de Tudor s'apprête à vivre une nouvelle année mouvementée durant laquelle il verra peu sa femme. Marion Rousse raconte donc ses séparations avec son mari.

C'est le couple star du peloton. Julian Alaphilippe et Marion Rousse vivent effectivement une idylle qui a vu naître le petit Nino. Cependant, entre l'un des coureurs majeurs du cyclisme mondial, et la présidente du Tour de France Femmes et consultante France TV, difficile d'accorder les emplois du temps. D'ailleurs, Marion Rousse reconnaît que les séparations, lorsque l'un ou l'autre doit partir pour plusieurs jours, sont difficiles à gérer.

«Julian, en tant que coureur cycliste, part plus de 250 jours à l’année»

« Julian, en tant que coureur cycliste, part plus de 250 jours à l’année. Il sait que ce sont ses dernières années de sportif de haut niveau, donc il faut qu’il le fasse à 100%. Évidemment, c’est dur aussi parfois de son côté de ne pas voir son fils comme il en aurait envie, mais tous les sportifs de haut niveau sont logés à la même enseigne malheureusement. J’arrive à être quand même un peu plus présente à la maison mais ma carrière sera plus longue que la sienne », assure-t-elle dans une interview accordée à Paris-Match, avant de poursuivre.

«C’est toujours un équilibre délicat à trouver»

« J’ai un métier un peu à part où maman n’est pas tous les jours à la maison. Julian, en tant que coureur cycliste, part plus de 250 jours à l’année. J’ai de la chance, et ça, je ne peux que les remercier, de pouvoir compter sur mes parents. C’est grâce à ça que je peux continuer mon travail comme je le fais. Ils sont présents pour mon petit et je sais qu’il est entre de bonnes mains quand je ne suis pas là. Il est éduqué aussi un peu de la même façon que moi et de la façon dont j’avais envie d’élever mon fils. Donc ça m’enlève une forme de pression. C’est toujours un équilibre délicat à trouver. Je pense que c’est important d’être performant dans le boulot mais aussi bien aussi dans ta vie perso. Évidemment que mon fils compte plus que tout. Je suis très proche de lui. Moi je ne le vois pas forcément tous les jours mais parfois, je suis une semaine non-stop avec lui. C’est une vie un peu différente. J’ai trouvé mon équilibre et je suis très heureuse. Et puis j’ai la chance aussi de pouvoir l’avoir de temps en temps avec moi sur les courses », ajoute Marion Rousse.

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