Wembanyama attendu en NBA, il fait une annonce fracassante
Benjamin Labrousse -
Rédacteur
Malgré un double cursus Espagnol/Communication, j’ai décidé de prendre en main mes rêves en me dirigeant vers le journalisme. Diplômé d’un master en journalisme de sport, je couvre l’actualité sportive et footballistique avec toujours autant d’admiration pour les période de mercato, où un club se doit de faire des choix cruciaux pour la saison prochaine.

Victor Wembanyama connaîtra sa future franchise NBA le 22 juin prochain lors de la draft. Si tout indique que le jeune pivot des Mets de Levallois-Perret rejoindra les Spurs de San Antonio, son entraîneur en club et en équipe de France le juge absolument préparé pour démarrer son aventure du côté de la grande ligue.

Wembanyama attendu comme numéro 1 de la draft, une «évidence» selon Vincent Collet

Vincent Collet est très certainement l’une des personnes qui connaît le mieux le prodige français. Interrogé dans les colonnes de l’Équipe sur la capacité de Wemby à s’adapter à la NBA, le sélectionneur de l’équipe de France et entraîneur des Mets semble unanime. « Clairement. À 14 ans, quand je l'ai vu pour la première fois, lors d'une fenêtre internationale avec les Bleus, ça été un choc, un gamin aussi grand et à l'aise avec la balle. Pascal (Donnadieu, son assistant et coach de Nanterre) le voyait déjà régulièrement. C'était une évidence qu'il allait être drafté très haut ».

Wemby vers les Spurs de San Antonio, Vincent Collet valide

Vincent Collet poursuit : « San Antonio a hérité du premier choix de la draft et sera probablement sa future destination. Est-ce le point de chute idéal ? C'était le choix que j'espérais. San Antonio est une franchise qui a construit sa légende avec des joueurs étrangers. On a vu ça en France avec le prisme de Tony Parker mais il y a aussi eu Manu Ginobili et d'autres. Je pense que Greg Popovich (l'entraîneur) peut être le meilleur mentor possible. Victor n'a que 19 ans, c'est un âge où on progresse beaucoup et on progresse plus ou moins selon comment on est soutenu et coaché. Pour l'équipe de France, c'est aussi une bonne nouvelle. San Antonio respecte le basket international et sait que les joueurs ne perdent pas leur temps en sélection mais que ça les fait progresser ».

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