NBA - Wembanyama : Le règlement de comptes en direct !
Pierrick Levallet

Les San Antonio Spurs ont pris une grande décision pour leur recrutement. La franchise texane veut construire autour de Victor Wembanyama. Le journaliste Shams Charania a d’ailleurs été accusé d’avoir vendu la mèche concernant un éventuel trade de Kevin Durant chez les Spurs. Il s’est donc permis de régler directement ses comptes.

Chez les San Antonio Spurs, l’avenir pour s’avérer radieux. La franchise texane souhaite construire autour de Victor Wembanyama, qui a mis tout le monde d’accord en NBA en seulement une saison et demie (il a déclaré forfait cet hiver après une thrombose veineuse). Le joueur de 21 ans pourrait donc voir de nouveaux joueurs débarquer dans son équipe pour l’épauler. Il a récemment été question d’un éventuel trade pour Kevin Durant. Le journaliste Shams Charania a notamment été accusé d’avoir vendu la mèche concernant l’arrivée de la star de 36 ans aux côtés de Victor Wembanyama. Il a donc réglé lui-même ses comptes.

«Je ne faisais que prendre mes repères»

« Je me dois de revenir là-dessus, parce que j’ai adoré voir les experts du langage corporel à l’œuvre et les tweets selon lesquels je faisais comprendre que Durant allait rejoindre les Spurs. En réalité, voilà ce qu’il s’est passé. C’était ma première fois dans l’émission d’ESPN Hoop Streams, qui était diffusée juste avant le Game 5 des Finales. Et à ce moment-là, je ne faisais que prendre mes repères dans ce nouvel environnement » a d’abord expliqué Shams Charania en direct du Pat McAfee Show.

«Je n’écoutais même pas forcément ce qu’il disait»

« Shump était en train d’avancer d’excellents arguments à propos des Spurs et de Kevin Durant, mais moi, en tant qu’insider, j’étais simplement en train de me demander si c’était réaliste. À vrai dire, je n’écoutais même pas forcément ce qu’il disait. Mais surtout, j’essayais de voir si la régie faisait des plans resserrés sur la personne qui parlait ou restait sur un plan large fixe. Du coup, je faisais en sorte de repérer la caméra qui nous filmait pour savoir où regarder quand mon tour de parler serait venu. Au final, j’ai réalisé qu’il n’y avait qu’un plan large, ce qui m’allait très bien » a-t-il ensuite ajouté dans des propos rapportés par Parlons Basket. Le message est passé.

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