Après une première saison très remarquée en NBA, Victor Wembanyama a été plus en difficulté pour son deuxième exercice puisqu'il a été absent plusieurs mois à cause d'une thrombose veineuse. Néanmoins, aux Etats-Unis l'engouement autour du joueur français reste intact, au point qu'il soit présenté comme étant capable de devenir le meilleur joueur de la Ligue d'ici 2 ans.
L'ascension fulgurant de Victor Wembanyama a connu un coup d'arrêt la saison dernière. En effet, après le All-Star Game, le Français s'est vu diagnostiquer une thrombose veineuse. Résultat, le leader des Spurs a raté toute la second partie de saison en NBA, mais également l'EuroBasket avec l'équipe de France. Cependant, cela ne devrait pas briser l'élan global de Wembanyama promis à un avenir plus que radieux.
«Wemby est à environ deux ans du moment où il sera réellement le meilleur joueur de la ligue»
D'ailleurs, pour Stacey King, ancien joueur des Bulls de Michael Jordan et triple champion NBA, Victor Wembanyama va rapidement devenir le meilleur joueur de la Ligue. « Je pense que Wemby est à environ deux ans du moment où il sera réellement le meilleur joueur de la ligue, parce qu’il fait tellement de choses différentes. Il apprend encore offensivement ; il n’est pas encore là où il va être. Son corps n’est pas totalement prêt, mais il va devenir plus fort chaque année », assure-t-il dans des propos rapportés par Parlons-Basket.
«Wembanyama est en passe de devenir l’un des meilleurs défenseurs de tous les temps»
Et auprès de Bleacher Report, un analyste américain va encore plus loin et pense que Victor Wembanyama deviendra le meilleur défenseur de l'histoire de la NBA : « Personne avant lui n’avait combiné au moins 3 tirs à trois points, 3 contres et 3 passes de moyenne sur une saison. Wemby l’a fait, et il n’a disputé que 46 matchs. Imaginez ce que donneront des saisons complètes. S’il n’est pas blessé, Wembanyama est en passe de devenir l’un des meilleurs défenseurs de tous les temps, tout en apportant une valeur offensive considérable grâce à son jeu d’espacement. »