Top 14 : Il l’annonce, il va tourner le dos à Urios !
Jean de Teyssière

Benjamin Urdapilleta évolue actuellement à l’ASM Clermont-Auvergne. Il y a d’ailleurs retrouvé une ancienne connaissance, lorsqu’en 2023 il a été recruté par Christophe Urios. Les deux hommes avaient déjà travaillé ensemble, à Oyonnax puis à Castres, avec qui il devient champion de France en 2018. Mais l’heure de la retraite approche pour le demi d’ouverture de 38 ans qui va quitter le club à la fin de la saison.

En 2012, Benjamin Urdapilleta arrive en France, à l’US Oyonnax. Il y est dirigé par un certain Christophe Urios qui fait monter le club en Top 14. La même année que le manager français, il rejoint Castres et devient champion de France en 2018. Durant sept ans, Urios a dirigé l’international argentin et les deux hommes se sont retrouvés à Clermont en 2023. Mais cette belle histoire va bientôt prendre fin.

Urdapilleta espère se faire pardonner

La semaine dernière, Clermont avait été corrigé par Perpignan (3-33). En conférence de presse, Benjamin Urdapilleta, joueur de Christophe Urios espère retrouver la victoire face à Toulon : « Franchement, on a été très déçu de notre performance car toute la semaine on a parlé de faire un bon match à Perpignan dans l’agressivité et au final on est passé à côté surtout dans l’intensité. Je pense que demain on sera focus, j’espère qu’on se fera pardonner, car on n’a pas montré notre vrai visage. Comment je l’explique ? Je ne sais pas… Car je sentais qu’on était prêt et au final on ne l’était pas. Mais je n’ai pas la recette, je ne suis pas dans la tête de chaque joueur, et il faudra montrer un autre visage. »

Urdapilleta va prendre sa retraite en fin de saison

Mais le protégé de Christophe Urios durant quasiment une décennie a fait une grande annonce sur son avenir : « L’année prochaine, je vais rentrer en Argentine avec ma famille et me poser un peu. Je jouerai peut-être en amateur de temps en temps, mais la priorité sera les enfants, qu’ils prennent leurs repères dans notre nouvelle vie, à Buenos Aires. Ils parlent déjà espagnol, mais là-bas, c’est un peu différent, il va leur falloir s’habituer et ils auront besoin que je sois là. »

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