Alors que la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024 a lieu ce vendredi soir, le suspense reste entier sur l’identité du dernier relayeur de la flamme. Zinedine Zidane fait partie des pistes évoquées mais à en croire Teddy Riner, le champion du monde 1998 ne sera pas l’heureux élu.
Si certaines informations ont commencé à fuite sur le déroulé de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris sur la Seine, avec les probables apparitions de Céline Dion, Lady Gaga, Aya Nakamura ou encore Juliette Armanet, un secret reste très bien gardé, celui du dernier relayeur de la flamme, en charge d'allumer la vasque olympique dans le jardin des Tuileries. Le nom de Zinedine Zidane est évoqué avec insistance, au même titre que celui de Marie-José Pérec, triple championne olympique d’athlétisme. Interrogé sur le sujet, Teddy Riner a clairement pris position.
Zidane à Paris, c’est validé https://t.co/R4t30caNn3 pic.twitter.com/Uknkuy43il
— le10sport (@le10sport) July 25, 2024
« Je suis sûr à 1000 % que Zidane ne sera pas le dernier relayeur. »
« Je ne veux pas faire de sexisme ou évaluer les chances des uns ou des autres. Si c’est un olympien, on sera tous très contents. Les JO, c’est d’abord un moment pour les olympiens et il faut que cela soit un Français qui a marqué l’histoire du sport français et international. C’est important », a indiqué le judoka jeudi dans l’enceinte du Club France, rapporté par Le Parisien. Zinedine Zidane pourrait-il être choisi alors qu’il n’a jamais participé aux Jeux olympiques dans sa carrière de joueur ou d’entraîneur ? Teddy Riner assure qu’il ne s’agira pas du champion du monde 1998 : « Je suis sûr à 1000 % que Zidane ne sera pas le dernier relayeur. »
Le dernier relayeur prévenu ce vendredi
Au lendemain de cette déclaration, Tony Estanguet a quant à lui expliqué qu’il n’avait pas encore prévenu le dernier relayeur ce vendredi matin. « C'est un choix audacieux, j'avais vu que lors des derniers Jeux, certains avaient attendu le dernier jour (...) Je me suis dit : 'Bah pourquoi pas ?'. Il y a une petite part de risque à attendre le dernier moment », a expliqué le président du Comité d'Organisation des Jeux Olympiques et paralympiques de Paris 2024.