Seulement huitième sur la grille de départ du Grand Prix du 70e anniversaire de la F1, Charles Leclerc reconnait qu'il galère au volant de sa Ferrari.
La situation ne s'améliore pas chez Ferrari. Si Charles Leclerc a réussi à monter deux fois sur le podium depuis le début de la saison, il le doit essentiellement à son talent et aux faits de course, plus qu'à la vélocité de sa monoplace. En effet, la Scuderia rencontre de grandes difficultés comme en témoignent les huitièmes et douzièmes temps de Charles Leclerc et Sebastian Vettel lors des qualifications du Grand Prix du 70e anniversaire de la F1 sur le circuit de Silverstone. Le Monégasque reconnait d'ailleurs que la situation est compliquée.
«C’est dommage mais c’est comme ça»
« Je pense que la semaine dernière, avec l’appui qu’on avait, c’était compliqué, mais les pneus sont plus tendres et on galère encore plus avec la dégradation des pneus. Sur un tour de qualifications, je perdais du temps dans le secteur 3, les pneus avant étaient usés à partir du secteur 3 et on perdait tout le temps à partir de là. C’est dommage mais c’est comme ça. Je pars huitième demain sur la grille, on partira avec des pneus médiums donc on est alignés avec les autres au niveau de la stratégie, et l’on verra qui prendra le risque de faire un seul arrêt et qui en fera deux », assure-t-il dans des propos rapportés par F1i.