F1 : Successeur de Lewis Hamilton, il s’enflamme avec Verstappen !
Benjamin Labrousse -
Rédacteur
Malgré un double cursus Espagnol/Communication, j’ai décidé de prendre en main mes rêves en me dirigeant vers le journalisme. Diplômé d’un master en journalisme de sport, je couvre l’actualité sportive et footballistique avec toujours autant d’admiration pour les période de mercato, où un club se doit de faire des choix cruciaux pour la saison prochaine.

Pour sa première saison chez Ferrari, Lewis Hamilton aura connu une année 2025 très compliquée. Si bien que pour certains, Ollie Bearman (Haas) devrait déjà lui succéder au sein de l’écurie italienne. En attendant, le jeune pilote britannique a récemment confié être totalement fan de Max Verstappen, avec qui il s’est récemment battu en course.

La saison 2025 de Ferrari est à oublier. L’écurie italienne n’a pas remporté la moindre course cette saison, et pire, l’arrivée de Lewis Hamilton n’a clairement pas permis à la « Scuderia » de passer un cap. Forcément, certains observateurs se tournent vers l’avenir. Un avenir qui pourrait s’écrire avec Ollie Bearman, membre de la firme Ferrari, et pilotant pour Haas.

Bearman remplaçant d’Hamilton chez Ferrari ?

Vu comme le successeur de Lewis Hamilton, le pilote de 20 ans impressionne en cette fin de saison. Bearman s’est récemment confié sur Max Verstappen, que ce dernier admire. « Bien sûr, tout le monde sait que – du moins selon moi – Max est le pilote le plus talentueux », a ainsi confié le pilote né en 2005 dans des propos relayés par Next-Gen Auto.

« C’est celui que j’admire en termes de référence »

« Pour moi, cette bataille a validé que Max est la référence : lorsque je serai dans une top voiture et que Max sera aussi dans une top voiture, c’est lui, c’est le gars, c’est le plus rapide, le meilleur à battre. C’est celui que j’admire en termes de référence, de ce que je dois faire en F1 si je veux un jour gagner un championnat. Alors pouvoir rouler côte à côte avec quelqu’un comme lui, c’est vraiment très cool », conclut Ollie Bearman.

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