Véritable légende chez Mercedes, Lewis Hamilton a décidé de rejoindre Ferrari pour cette saison 2025. Afin de le remplacer, l’écurie allemande a fait appel au tout jeune Andrea Kimi Anonelli, âgé de 18 ans et rookie en Formule 1. Pour le champion du monde 2016 Nico Rosberg, cette décision est risquée, même si l’Italien dispose d’un très bel avenir.

L’avenir va devoir s’écrire sans Lewis Hamilton chez Mercedes. L’écurie allemande a vu le septuple champion du monde faire ses adieux en 2024, lui qui est désormais officiellement un pilote Ferrari. Face à un choix cornélien, la bande à Toto Wolff a décidé de miser sur Andrea Kimi Antonelli afin de prendre la succession de la légende de 40 ans.
Lewis Hamilton chez Ferrari en 2025 ? Un bouleversement qui fait parler ! Sainz vers Williams, qui va en tirer profit ? 🏎️ https://t.co/ltuSEfLtwW
— le10sport (@le10sport) December 30, 2024
« On ne peut pas ignorer le potentiel de ce gamin »
Né en 2006 et âgé de 18 ans, le jeune Italien est un véritable pari d’avenir pour Mercedes, qui entrevoit en lui un énorme potentiel. Quoi qu’il en soit, avec le départ d’Hamilton, c’est George Russell qui occupera le rôle de leader, tandis que Kimi Antonelli va devoir vite faire ses preuves. Pour Nico Rosberg, il s’agit d’un choix osé de la part de son ancienne écurie : « Je connais très bien Kimi, il courait dans mon académie de karting en 2019, et j’avais déjà vu à cet âge quel talent impressionnant il avait. C’est une décision audacieuse de la part de Toto, mais on ne peut pas ignorer le potentiel de ce gamin », a révélé le champion du monde 2016 dans des propos relayés par Next-Gen Auto.
« Je sais que Mercedes le soutiendra bien »
« Il fera certainement des erreurs en 2025, mais je sais que Mercedes le soutiendra bien. Il a un brillant avenir devant lui et je suis impatient de voir comment il s’adaptera à la F1. Les premières saisons sont pleines de défis, et avoir quelqu’un d’expérimenté pour vous guider peut faire une réelle différence. George (Russell, ndlr) aura maintenant ce rôle », conclut Nico Rosberg.