Lewis Hamilton a entamé un nouveau chapitre de sa carrière en cette année 2025 en rejoignant Ferrari. Après douze années chez Mercedes, le septuple champion du monde réalise un rêve de longue date et savoure encore aujourd’hui cette expérience, évoquant ce changement comme une véritable histoire d'amour.
Cette saison 2025 de Formule 1 fut marquée par les débuts de Lewis Hamilton chez Ferrari. Après douze saisons passées chez Mercedes, le Britannique a décidé de rejoindre la Scuderia, un changement majeur et un rêve réalisé par le septuple champion du monde, qui vise toujours un huitième titre pour battre Michael Schumacher. « J’ai eu la chance de réussir des choses que je ne pensais jamais possible dans ma carrière, mais une part de moi a toujours eu ce rêve de courir en rouge », reconnaissait Hamilton avant ses débuts.
« Quand on monte dans une Ferrari, c’est de l’amour »
Interrogé par le magazine officiel de Ferrari, Lewis Hamilton est revenu sur ses premiers pas dans sa nouvelle équipe. « J’ai aujourd’hui 40 ans, et j’en avais 21 la première fois que je me suis assis dans une F1. Quand on vient d’un milieu où l’on regarde la F1 à la télévision, où l’on aspire à courir au plus haut niveau, et que l’on se retrouve dans une F1 avec les gens autour de soi, les mécaniciens et toute la machinerie... Et puis, 20 ans plus tard, se retrouver dans une voiture rouge, c’était beaucoup plus émouvant. À 21 ans, ce n’était pas émouvant, c’était "excitant", parce que tout bouillonnait en moi. Quand on monte dans une Ferrari, c’est de l’amour. On établit un lien différent », confie Hamilton, rapporté par Nextgen-Auto.
« Je n’aurais jamais pensé obtenir un baquet ici »
« C’est tellement spécial ici. Le rouge est l’une de mes couleurs préférées. Ferrari, c’est l’histoire, l’emblème et ce qu’il symbolise. Les voitures sont des chefs-d’œuvre. C’est la langue, la culture, la cuisine. C’est la façon dont les Italiens expriment leur passion pour tout. Au fil des ans, différentes cultures se sont impliquées et ont attiré des personnes de tous horizons, mais Ferrari reste fondamentalement italienne. Je n’aurais jamais pensé obtenir un baquet ici, savoure Lewis Hamilton. Pour être honnête, je m’inquiétais des différences culturelles, mais une fois sur place, tout le monde s’est montré très ouvert d’esprit. En fin de compte, c’est une question de relations humaines. Quand on crée des ponts, tout le reste s’efface. »