F1 : Fiasco pour Hamilton, Ferrari dénonce une erreur fatale !
Benjamin Labrousse -
Rédacteur
Malgré un double cursus Espagnol/Communication, j’ai décidé de prendre en main mes rêves en me dirigeant vers le journalisme. Diplômé d’un master en journalisme de sport, je couvre l’actualité sportive et footballistique avec toujours autant d’admiration pour les période de mercato, où un club se doit de faire des choix cruciaux pour la saison prochaine.

La première saison de Lewis Hamilton sous les couleurs de Ferrari n’est clairement pas satisfaisante. Le pilote britannique enchaîne les prestations insipides, ce qui inquiète sérieusement les tifosi de l’écurie italienne. Pour Frédéric Vasseur, directeur de la « Scuderia », Ferrari a sous-estimé la période d’adaptation du septuple champion du monde.

S’étant qualifié lui-même « d’inutile » lors du Grand Prix de Hongrie, Lewis Hamilton vit un véritable calvaire pour sa première saison chez Ferrari. Le septuple champion du monde pointe à la sixième place du championnat du monde, et n’a décroché aucun podium en 2025. Un malaise existe-il donc au sein de l’écurie italienne ? Le Team Principal Frédéric Vasseur s’est exprimé sur les prestations décevantes du numéro 44.

« Nous avons bêtement pensé qu’il aurait tout sous contrôle »

« Comme je l’ai dit, Lewis et moi avons probablement sous-estimé le changement d’environnement et le fait qu’il ait passé, pour moi, 20 ans dans la même équipe. McLaren était une équipe similaire à Mercedes, puis il est passé chez Mercedes, une équipe anglaise basée à Brackley, les mêmes motoristes, la même culture, etc. Il a donc passé 18 ans, de 2006 à 2024, dans cet environnement puis il est arrivé chez Ferrari. Et nous avons bêtement pensé qu’il aurait tout sous contrôle », a ainsi confié l’ingénieur français dans des propos relayés par Next-Gen Auto.

« Nous avons sous-estimé cela »

Vasseur poursuit sur cette question d’adaptation de Lewis Hamilton : « D’un point de vue culturel, il y a une plus grande différence entre Ferrari et Mercedes qu’entre Mercedes et McLaren. Et nous avons sous-estimé cela. Il a fallu quatre ou cinq courses à Lewis pour mieux maîtriser la situation. Et je dirais qu’à partir du Canada, de l’Espagne, du Royaume-Uni et de l’Autriche, il était là. À Spa, il a connu un week-end difficile, mais pour des raisons différentes, avec des qualifications difficiles. »

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