C’est désormais terminé pour Lewis Hamilton du côté de Mercedes. Encore officiellement sous contrat avec l’écurie allemande, le septuple champion du monde va très prochainement rejoindre Ferrari afin d’effectuer les premiers tests hivernaux. Directeur de la Scuderia, Frédéric Vasseur s’est d’ailleurs dit très satisfait de l’expérience du Britannique vis-à-vis de son adaptation rapide, notamment concernant ses premiers pas en rouge.
Après des années légendaires chez Mercedes, Lewis Hamilton va finalement rejoindre Ferrari pour la saison 2025. Aux côtés de Charles Leclerc, le septuple champion du monde s’apprête à former un duo de choc pour la Scuderia. Désormais, les débuts du champion britannique avec une monoplace rouge sont extrêmement attendus.
Hamilton chez Ferrari, un choc pour Sainz ! 2025 promet d'être mouvementé avec ce duo explosif. 🚀
— le10sport (@le10sport) December 20, 2024
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Les débuts d’Hamilton chez Ferrari attendus au tournant
« Fred [Vasseur] aurait voulu que je pilote la Ferrari à Abu Dhabi, mais cela ne me séduisait pas. Je veux vivre mon premier jour chez Ferrari comme un moment spécial, à Maranello, loin des regards. Même si j’avais demandé, je ne pense pas que Mercedes m’aurait permis de piloter la Ferrari tant que mon contrat court encore. Mais honnêtement, je n’en avais pas envie. Je veux débuter cette nouvelle aventure en prenant mon temps », avouait récemment Hamilton à propos de ses débuts.
« Je ne suis pas du tout inquiet à ce sujet »
Questionné vis-à-vis des premiers essais hivernaux de Lewis Hamilton, Frédéric Vasseur a d’abord félicité l’attitude de son nouveau pilote, avant d’évoquer les problèmes météorologiques de Bahreïn : « Il arrive avec sa propre expérience. Il n’est pas le débutant de l’année, donc je ne suis pas du tout inquiet à ce sujet, et aussi la continuité du règlement précédent, ce qui signifie que pour nous, nous avons une certaine référence. Le défi, c’est que si nous allons à Bahreïn et que nous avons une tempête de sable comme il y a quelques années, alors c’est difficile, mais c’est difficile pour tout le monde sur la grille. Nous savons que nous n’avons que trois jours là-bas. C’est comme ça », a confié le directeur français.